Propaganda, Fakenews & Journalisme
- Didier Bourjon
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Re: Propaganda, Fakenews & Journalisme

Problème : la news a été annoncée avec la dramatisation qui va bien, car les "journalistes" ont immédiatement pensé à un partisan de Trump, et maintenant il va falloir mettre ça sous le tapis... Ils y parviendront, à n'en pas douter.
- Didier Bourjon
- Administrateur
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Re: Propaganda, Fakenews & Journalisme
Voilà, voilà...
On verra ce soir si le JT2 va également passer la chose sous silence malgré le cirque de sa correspondante hier soir.
On verra ce soir si le JT2 va également passer la chose sous silence malgré le cirque de sa correspondante hier soir.
- Didier Bourjon
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Re: Propaganda, Fakenews & Journalisme
Vérification faite, le JT2 a correctement relaté les choses, se contentant de conclure au "déséquilibré" — c'était la moindre des choses...
- Eric Veron
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Re: Propaganda, Fakenews & Journalisme
Covid-19. Le centre de pharmacovigilance de Tours assailli par des signalements sur les vaccins
Les signalements sur les effets indésirables des vaccins anti-Covid-19 se multiplient et le Centre régional de pharmacovigilance (CRPV) de Tours doit faire face à une flambée de son activité. Face à la situation, il a été demandé aux patients et aux médecins de ne pas tout déclarer afin de pouvoir prioriser les signalements les plus graves.
Le CRPV demande de ne pas signaler de légers effets secondaires pour laisser la place aux plus graves.
Fin mars, le Centre régional de pharmacovigilance de Tours (Indre-et-Loire) avait déjà réalisé l’équivalent de toute son activité de 2020. En effet, comme le rapporte France 3 Centre Val-de-Loire, les signalements sur les effets indésirables des vaccins anti-Covid-19, notamment ceux concernant AstraZeneca, ont fait exploser le nombre de dossiers.
Créé en 1986, le CRPV de Tours est implanté dans le CHRU Bretonneau. Comme les 31 autres centres régionaux, il est chargé de surveiller les nouveaux médicaments et vaccins mis sur le marché et d’en déceler les éventuels effets secondaires encore inconnus.
1 400 signalements en trois mois
Et depuis le mois de janvier, il a reçu 1 400 signalements et parfois plus 200 en une semaine. Un phénomène auquel il n’était pas préparé. « Patients et médecins ont tout déclaré : ce qui nous a beaucoup embolisés », a expliqué la responsable du CRPV de Tours.
Il a donc été demandé de ne plus signaler le moindre effet afin que le centre puisse se concentrer sur les signalements graves, comme les thromboses, effet secondaire « très rare » du vaccin AstraZeneca selon l’Agence européenne des médicaments. Si un lien entre un problème de santé et la vaccination est jugé probable, les dossiers sont transmis en urgence à l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM).
Rassurer les gens
Chaque semaine, les Centres Régionaux coordinateurs et rapporteurs et l’Agence du médicament mettent en commun leurs observations. Ces dernières sont ensuite mises en ligne par l’ANSM, avant d’être saisies dans une base européenne puis mondiale.
Si vous faites partie des publics concernés, comptez-vous vous faire vacciner avec le AstraZeneca ?
« Il faut rassurer les gens, les vaccins sont surveillés de très, très près. Il faut plutôt qu’ils voient ça comme un message rassurant plutôt qu’angoissant », a déclaré la responsable du CRPV de Tours.
Les signalements sur les effets indésirables des vaccins anti-Covid-19 se multiplient et le Centre régional de pharmacovigilance (CRPV) de Tours doit faire face à une flambée de son activité. Face à la situation, il a été demandé aux patients et aux médecins de ne pas tout déclarer afin de pouvoir prioriser les signalements les plus graves.
Le CRPV demande de ne pas signaler de légers effets secondaires pour laisser la place aux plus graves.
Fin mars, le Centre régional de pharmacovigilance de Tours (Indre-et-Loire) avait déjà réalisé l’équivalent de toute son activité de 2020. En effet, comme le rapporte France 3 Centre Val-de-Loire, les signalements sur les effets indésirables des vaccins anti-Covid-19, notamment ceux concernant AstraZeneca, ont fait exploser le nombre de dossiers.
Créé en 1986, le CRPV de Tours est implanté dans le CHRU Bretonneau. Comme les 31 autres centres régionaux, il est chargé de surveiller les nouveaux médicaments et vaccins mis sur le marché et d’en déceler les éventuels effets secondaires encore inconnus.
1 400 signalements en trois mois
Et depuis le mois de janvier, il a reçu 1 400 signalements et parfois plus 200 en une semaine. Un phénomène auquel il n’était pas préparé. « Patients et médecins ont tout déclaré : ce qui nous a beaucoup embolisés », a expliqué la responsable du CRPV de Tours.
Il a donc été demandé de ne plus signaler le moindre effet afin que le centre puisse se concentrer sur les signalements graves, comme les thromboses, effet secondaire « très rare » du vaccin AstraZeneca selon l’Agence européenne des médicaments. Si un lien entre un problème de santé et la vaccination est jugé probable, les dossiers sont transmis en urgence à l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM).
Rassurer les gens
Chaque semaine, les Centres Régionaux coordinateurs et rapporteurs et l’Agence du médicament mettent en commun leurs observations. Ces dernières sont ensuite mises en ligne par l’ANSM, avant d’être saisies dans une base européenne puis mondiale.
Si vous faites partie des publics concernés, comptez-vous vous faire vacciner avec le AstraZeneca ?
« Il faut rassurer les gens, les vaccins sont surveillés de très, très près. Il faut plutôt qu’ils voient ça comme un message rassurant plutôt qu’angoissant », a déclaré la responsable du CRPV de Tours.