Ecologie humaine
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- Didier Bourjon
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Ecologie humaine
Pas mal ; et intéressant de voir ce problème posé, quand bien même le fond en est masqué : la prolifération humaine qui, de longue date, a déjà passé toutes les bornes — erratiquement, absurdement, anti-culturellement. Plus encore que la "Nature", et tout d'abord, ce sont les ressources en âme qui sont détruites.
Mondialisation et immigration ne sont-elles pas anti-écologiques ? (Bd Voltaire)
« En fait, poser la question, c’est déjà y répondre. On nous a assez répété que le modèle de développement occidental n’était pas soutenable si des milliards d’Africains et d’habitants de pays pauvres y accédaient. Nos gouvernements n’en ont tiré qu’une conséquence : nous devons en changer. Outre le fait qu’ils s’y prennent très mal, ils n’ont pas osé énoncer l’autre conséquence : ce modèle ne peut plus accueillir des centaines de millions d’Africains qui vont l’adopter.
Dire cela, c’est commencer à redécouvrir la dimension spirituelle de l’écologie dans ses valeurs de proximité et de frugalité. C’est redécouvrir la nécessité d’une communauté historique, locale, enracinée.
La multiplication des échanges, donc des transports et des migrations, est par nature anti-écologique. Donc, pour le réveillon : pas de fruit exotique, pas de guirlande électrique, pas de voyage aux Seychelles, pas de jouets fabriqués en Chine. Mais pas de migrants non plus. »
Mondialisation et immigration ne sont-elles pas anti-écologiques ? (Bd Voltaire)
« En fait, poser la question, c’est déjà y répondre. On nous a assez répété que le modèle de développement occidental n’était pas soutenable si des milliards d’Africains et d’habitants de pays pauvres y accédaient. Nos gouvernements n’en ont tiré qu’une conséquence : nous devons en changer. Outre le fait qu’ils s’y prennent très mal, ils n’ont pas osé énoncer l’autre conséquence : ce modèle ne peut plus accueillir des centaines de millions d’Africains qui vont l’adopter.
Dire cela, c’est commencer à redécouvrir la dimension spirituelle de l’écologie dans ses valeurs de proximité et de frugalité. C’est redécouvrir la nécessité d’une communauté historique, locale, enracinée.
La multiplication des échanges, donc des transports et des migrations, est par nature anti-écologique. Donc, pour le réveillon : pas de fruit exotique, pas de guirlande électrique, pas de voyage aux Seychelles, pas de jouets fabriqués en Chine. Mais pas de migrants non plus. »
- Didier Bourjon
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Re: Ecologie humaine
Zemmour et les escrologues : vidéo ici
- Didier Bourjon
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Re: Ecologie humaine
On laissera prudemment la responsabilité du propos à son auteur...


- Didier Bourjon
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Re: Ecologie humaine
« Ce qui élève l'homme par rapport à l'animal, c'est la conscience qu'il a d'être un animal... Du fait qu'il sait qu'il est un animal, il cesse de l'être » Hegel
- Eric Veron
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Re: Ecologie humaine
Zemmour et les escrologues Merci, Didier. Je suis surtout frappé par l'absence de pensée de l'écologiste de service que je ne connais pas. Aucun liant, aucune analyse, aucun historique, aucune perspective mais des slogans hors sol et de l'émotion éclatée. Évidemment, face à Zemmour, cela fait comme un contraste.
- Eric Veron
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Re: Ecologie humaine
Ce qui élève l'homme par rapport à l'animal Je serais tenté de faire le parallèle avec la liberté.
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