Prémices de la guerre qui vient
- Didier Bourjon
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Re: Prémices de la guerre qui vient
Haine des policiers : quand même se défendre devient risqué
« Jeudi 1er octobre, Montpellier. Des policiers ont été violemment agressés par une trentaine de délinquants. Samedi 3 octobre, à Narbonne, deux frères jumeaux ont craché, insulté, menacé et frappé au total huit policiers. Toujours le 3 octobre, mais à Dunkerque, deux policiers ont été frappés par deux individus. Un avant-goût du « massacre » d’Herblay, le soir du mercredi 7 octobre. Deux policiers ont été roués de coups par trois agresseurs qui se sont emparés de leurs armes de service pour leur tirer dessus à plusieurs reprises. Un des deux a toujours son pronostic vital d’engagé. Deux jours plus tard à Sèvres, des policiers ont été attaqués alors qu’ils intervenaient pour un attroupement d’une cinquantaine d’individus tournant un clip avec des mortiers. Samedi 10 octobre à Bron, le maire LR et les forces de l’ordre ont été insultés et menacés de mort par le biais de graffitis après une opération antistupéfiants. « Ceci est un message de guerre, on va vous tuer », pouvait-on lire. Une déclaration de guerre envers les forces de l’ordre qui prend forme partout en France. Dans la nuit de samedi à dimanche 11 octobre, le commissariat de Champigny-sur-Marne a été violemment attaqué à coups de tirs de mortiers d’artifice, par une quarantaine de voyous armés de barres de fer et de boules de pétanque. Dans la journée du dimanche 11 octobre il n’y a pas eu moins de trois agressions. A Dammarie-les-Lys, un fourgon des forces de l’ordre se faisait caillasser après être intervenu sur le tournage sauvage d’un clip du rappeur Negrito, pendant qu’à Port-Louis, un policier se faisait violemment frapper par un chauffeur de taxi. Sans compter Nice où un officier municipal s’est pris un projectile (une planche) à la tête. Lundi 12 octobre à Cherbourg, des pompiers et des policiers sont pris dans un guet-apens par une bande de délinquants armés de barres de fer, de fusées et de mortiers d’artifice. Pendant ce temps à Bordeaux, des individus ont tiré des mortiers d’artifice sur les officiers. Plus tard, un homme au volant d’une Audi A3 a délibérément foncé sur un des policiers qui a tout juste eu le temps de l’éviter. Ce n’est malheureusement pas le cas d’un autre, qui ce mercredi 14 octobre à Savigny-sur-Orge a été percuté par une voiture qui tentait d’échapper à un contrôle. La violence et la recrudescence de ces agressions est aujourd’hui à son paroxysme. L’urgence de la situation ne semble pourtant pas inquiéter outre-mesure. » (Valeurs Actuelles)
« Jeudi 1er octobre, Montpellier. Des policiers ont été violemment agressés par une trentaine de délinquants. Samedi 3 octobre, à Narbonne, deux frères jumeaux ont craché, insulté, menacé et frappé au total huit policiers. Toujours le 3 octobre, mais à Dunkerque, deux policiers ont été frappés par deux individus. Un avant-goût du « massacre » d’Herblay, le soir du mercredi 7 octobre. Deux policiers ont été roués de coups par trois agresseurs qui se sont emparés de leurs armes de service pour leur tirer dessus à plusieurs reprises. Un des deux a toujours son pronostic vital d’engagé. Deux jours plus tard à Sèvres, des policiers ont été attaqués alors qu’ils intervenaient pour un attroupement d’une cinquantaine d’individus tournant un clip avec des mortiers. Samedi 10 octobre à Bron, le maire LR et les forces de l’ordre ont été insultés et menacés de mort par le biais de graffitis après une opération antistupéfiants. « Ceci est un message de guerre, on va vous tuer », pouvait-on lire. Une déclaration de guerre envers les forces de l’ordre qui prend forme partout en France. Dans la nuit de samedi à dimanche 11 octobre, le commissariat de Champigny-sur-Marne a été violemment attaqué à coups de tirs de mortiers d’artifice, par une quarantaine de voyous armés de barres de fer et de boules de pétanque. Dans la journée du dimanche 11 octobre il n’y a pas eu moins de trois agressions. A Dammarie-les-Lys, un fourgon des forces de l’ordre se faisait caillasser après être intervenu sur le tournage sauvage d’un clip du rappeur Negrito, pendant qu’à Port-Louis, un policier se faisait violemment frapper par un chauffeur de taxi. Sans compter Nice où un officier municipal s’est pris un projectile (une planche) à la tête. Lundi 12 octobre à Cherbourg, des pompiers et des policiers sont pris dans un guet-apens par une bande de délinquants armés de barres de fer, de fusées et de mortiers d’artifice. Pendant ce temps à Bordeaux, des individus ont tiré des mortiers d’artifice sur les officiers. Plus tard, un homme au volant d’une Audi A3 a délibérément foncé sur un des policiers qui a tout juste eu le temps de l’éviter. Ce n’est malheureusement pas le cas d’un autre, qui ce mercredi 14 octobre à Savigny-sur-Orge a été percuté par une voiture qui tentait d’échapper à un contrôle. La violence et la recrudescence de ces agressions est aujourd’hui à son paroxysme. L’urgence de la situation ne semble pourtant pas inquiéter outre-mesure. » (Valeurs Actuelles)
- Didier Bourjon
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Re: Prémices de la guerre qui vient
Il est bien décoré, le bureau du maire...
- Eric Veron
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Re: Prémices de la guerre qui vient
« S'ils s'engagent dans cette démarche, bien évidemment ils seront confrontés à des risques d'affrontement sur le terrain »
Bien évidemment , monsieur le maire...
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- Didier Bourjon
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Re: Prémices de la guerre qui vient
Le retour des pogroms en France.


- Didier Bourjon
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Re: Prémices de la guerre qui vient
“Soit nous reculons, soit nous avançons et nous les écrasons. Ils nous considèrent déjà comme le pire ennemi de l’islamisme. Ils ont raison nous sommes le pays de la liberté alors faisons de la France le tombeau de l’islamisme.” – Guillaume Bigot
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« Peu à peu, tous les éléments qui peuvent mener à une confrontation interne de type guerre civile se mettent en place. Ainsi, les Français ont perdu toute confiance dans le gouvernement pour les protéger du terrorisme.
C’est ce qu’indique le dernier baromètre sécurité Fiducial/Odoxa que révèle Le Figaro et réalisé après la décapitation du professeur d’histoire-géographie Samuel Paty à Conflans-Saint-Honorine (Yvelines).
Ainsi, seuls 26% de nos concitoyens font encore confiance aux autorités pour les protéger, ce qui représente une baisse spectaculaire de 18 points depuis le mois de juillet et de 7 points en une semaine. «En ce mois d’octobre, le crédit relatif du gouvernement sur la question terroriste s’effondre totalement» concluent les auteurs du baromètre.
Les Français sont donc désormais une écrasante majorité à avoir compris que l’exécutif ne les protègerait pas, et ceci peut avoir des conséquences dramatiques. Si les attentats qui sèment la terreur dans notre pays devenaient de plus en plus fréquents et s’attaquaient à des cibles émotionnellement puissantes, rien ne pourrait alors probablement arrêter la fureur du peuple… » (Lettre Patriote)
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« Peu à peu, tous les éléments qui peuvent mener à une confrontation interne de type guerre civile se mettent en place. Ainsi, les Français ont perdu toute confiance dans le gouvernement pour les protéger du terrorisme.
C’est ce qu’indique le dernier baromètre sécurité Fiducial/Odoxa que révèle Le Figaro et réalisé après la décapitation du professeur d’histoire-géographie Samuel Paty à Conflans-Saint-Honorine (Yvelines).
Ainsi, seuls 26% de nos concitoyens font encore confiance aux autorités pour les protéger, ce qui représente une baisse spectaculaire de 18 points depuis le mois de juillet et de 7 points en une semaine. «En ce mois d’octobre, le crédit relatif du gouvernement sur la question terroriste s’effondre totalement» concluent les auteurs du baromètre.
Les Français sont donc désormais une écrasante majorité à avoir compris que l’exécutif ne les protègerait pas, et ceci peut avoir des conséquences dramatiques. Si les attentats qui sèment la terreur dans notre pays devenaient de plus en plus fréquents et s’attaquaient à des cibles émotionnellement puissantes, rien ne pourrait alors probablement arrêter la fureur du peuple… » (Lettre Patriote)
- Didier Bourjon
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Re: Prémices de la guerre qui vient
101 maires alertent Emmanuel Macron sur la “bombe à retardement” des banlieues frappées par la crise
« Le collectif Territoires gagnants, qui rassemble des maires et des présidents d’associations, a mobilisé 101 élus locaux pour envoyer un message d’alerte au président de la République.
Selon nos confrères du Figaro, dans une lettre qui sera transmise à l’Élysée samedi, les signataires proposent de réserver 1% du plan de relance, soit 1 milliard d’euros, pour répondre aux urgences constatées dans des quartiers en grande souffrance.
Avec la crise sanitaire et ses conséquences économiques, les associations caritatives avaient déjà signalé une explosion des demandes d’aides (hausse de 50%) et l’apparition de nouveaux profils sociologiques parmi les bénéficiaires de la solidarité. Cette fois, élus et professionnels estiment que ces difficultés sont décuplées dans les banlieues et qu’il est primordial d’apporter une réponse avant l’effondrement.
Taux de chômage en hausse accélérée, paupérisation des emplois, croissance de l’aide alimentaire, triple baisse des revenus dans les foyers, du nombre de licenciés et des créations d’association …
Parmi les 101 maires signataires du courrier adressé au chef de l’État trois ans après son discours de Tourcoing (Emmanuel Macron avait alors soutenu l’idée d’un nouveau pacte de confiance sur la politique de la ville), on retrouve le président des maires de France François Baroin (Troyes), Guillaume Delbar (Roubaix), Frédéric Leturque (Arras), Marie-Claude Jarrot (Montceau-les-Mines) ou encore Laurent Marcangeli (Ajaccio).
Une situation… explosive. » (par Lettre Patriote)
« Le collectif Territoires gagnants, qui rassemble des maires et des présidents d’associations, a mobilisé 101 élus locaux pour envoyer un message d’alerte au président de la République.
Selon nos confrères du Figaro, dans une lettre qui sera transmise à l’Élysée samedi, les signataires proposent de réserver 1% du plan de relance, soit 1 milliard d’euros, pour répondre aux urgences constatées dans des quartiers en grande souffrance.
Avec la crise sanitaire et ses conséquences économiques, les associations caritatives avaient déjà signalé une explosion des demandes d’aides (hausse de 50%) et l’apparition de nouveaux profils sociologiques parmi les bénéficiaires de la solidarité. Cette fois, élus et professionnels estiment que ces difficultés sont décuplées dans les banlieues et qu’il est primordial d’apporter une réponse avant l’effondrement.
Taux de chômage en hausse accélérée, paupérisation des emplois, croissance de l’aide alimentaire, triple baisse des revenus dans les foyers, du nombre de licenciés et des créations d’association …
Parmi les 101 maires signataires du courrier adressé au chef de l’État trois ans après son discours de Tourcoing (Emmanuel Macron avait alors soutenu l’idée d’un nouveau pacte de confiance sur la politique de la ville), on retrouve le président des maires de France François Baroin (Troyes), Guillaume Delbar (Roubaix), Frédéric Leturque (Arras), Marie-Claude Jarrot (Montceau-les-Mines) ou encore Laurent Marcangeli (Ajaccio).
Une situation… explosive. » (par Lettre Patriote)