Afficher le sujet - Violences policières & gouvernement irresponsable

Citation à propos de la vidéo de Nice : (adressée à Dame Genest qui reprenait la vidéo)

Commissaires de police - SICP @SICPCommissaire 17h

Ce qui est hallucinant c’est votre idiotie!
Relayer des Fake News, c’est faire le jeu des extrêmes.
L’individu interpellé avait insulté et frappé un policier.
Vous auriez dû continuer à faire de la publicité pour du jambon, au moins vous excelliez!

https://twitter.com/SICPCommissaire/status/1300104831286247424

J'ai désormais le plus grand doute quant aux les incriminations d'outrage ou de rébellion, qui servent trop aisément aux FDO de couverture pour leur exactions.

La réaction de SICP que nous transmet Luc est stupéfiante.

D'un fait du jour, trompetté par les auteurs, et de quelques réactions parmi nombre d'autres.

Un gouvernement peut tout demander à sa police. Il lui a demandé, il y a finalement peu de temps, d'arrêter des enfants pour les envoyer en camp de concentration, elle l'a fait.

Plus débile, tu meurs.
Le discernement n'a jamais été le point fort des FDO, qu'on leur demandait pourtant, mais là...

Pénible à suivre, mais instructif ; Odoul tient bon malgré les sophismes lamentables et la mauvaise foi éhontée de ses contradicteurs, lesquels n'ont pas l'ombre d'une intelligence et ne font que pavlover à donf', et aboyer ; ils ont peur.

L'image :



Une vue plus proche de la réalité :


«Ça a été extrêmement furtif. J'ai vu quelque chose qui m'a attiré mais je ne me rappelle plus précisément quoi, j'ai appuyé sur le bouton et là j'ai vu les flammes sur l'image sur mon boîtier (...) Le policier n'était pas en feu mais j'ai l'impression qu'on lui a lancé quelque chose dont il s'est protégé avec son bouclier.»

Quel boulevard pourrait maintenant s'offrir à qui aurait la stature d'un De Gaulle et qui pourrait prétendre légitimement incarner ce qu'il y a de plus profond et de plus constant de notre nation : à ces hommes dénigrés et désavoués par le pouvoir en place, utilisés pour de sales besognes puis sacrifiés sur les autels du délire idéologique, qui ne savent plus où ni comment se tenir dans un monde qui s'effondre, il donnerait un cadre, une mission, des devoirs, des ordres. Il en ferait son armée, disponible, en attente et déjà au service de son peuple.

Quel boulevard pourrait maintenant s'offrir à qui aurait la stature d'un De Gaulle et qui pourrait prétendre légitimement incarner ce qu'il y a de plus profond et de plus constant de notre nation [...]

Je n'en suis pas bien sûr, cher ami...
On nous a assez bassiné avec la rencontre d'un homme et d'un peuple, j'ajouterais, en sus, avec un moment historique. Il faut se garder de calquer hier sur aujourd'hui dans des conditions si différentes, ou alors comme farce.
Où trouvez-vous le peuple, cher Alain ? Pour ma part je ne vois pas non plus l'homme. De plus, ce qui me parait le plus sûr c'est que l'époque ne semble pas propice à un sursaut derrière l'homme providentiel. Oh, oui ! un démagogue, un autoritaire de carton (ou une autoritaire de carton, je ne vise personne mais suivez mon regard) qui ferait illusion quelques mois ou quelques semaines. Non ; je ne parle qu'en mon nom, bien sûr, cher Alain, mais si vous cherchez à comprendre à qui s'offre le boulevard, descendez tous les samedis sur le boulevard. Je suis de plus en plus convaincu qu'il nous faudra, malheureusement, en passer par là.

Si nul n'a la taille, faites avec un quarteron. Évitons les considérations sur la nature de l'histoire. Je dis simplement que le moment est venu ou la nation, par le canal d'un seul, d'une poignée, ou d'une multitude, a l'opportunité de s'adresser à ceux qui sont en charge de l'ordre public, qui sont trahis par leurs maîtres officiels et qui en sont manifestement déboussolés. Je crois donc qu'ils seraient donc réceptifs à l'appel que leur peuple, ou leur pays ou leur patrie, comme on voudra, sous une forme et par une voix que je ne peux préciser, leur lancerait. Beaucoup l'attendent et nombreux sont ceux qui l'entendraient. Il n'est pas nécessaire que cela se traduise par une prise d'armes, il suffit que ça ait la vertu d'une semence que l'on met en terre.

Il n'est pas nécessaire que cela se traduise par une prise d'armes, il suffit que ça ait la vertu d'une semence que l'on met en terre.

Ah! C'est une autre façon de dire...

Notez bien que ce ne sont pas les armes en elles-mêmes que je récuse absolument, mais plutôt certains cerveaux qui ont le doigt sur la gâchette.