Écologie
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- Philippe Versini
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Écologie
Le Monde publie un article inquiétant sur le déclin des insectes.
« Je pense que j'ai dû me réveiller vers le milieu des années 2000. Un jour, alors que je marchais près de chez moi, dans la garrigue, je me suis demandé où étaient passés les insectes, car il me semblait qu'il y en avait beaucoup moins qu'avant, raconte Maarten Bijleveld van Lexmond. Et puis j'ai réalisé qu'il y en avait aussi de moins en moins collés sur le pare-brise et la calandre de ma voiture. Presque plus, en fait. » En juillet 2009, dans sa maison de Notre-Dame-de-Londres (Hérault), le biologiste néerlandais, 77 ans, réunit une douzaine d'entomologistes partageant la même inquiétude.
Tous notent un déclin accéléré de toutes les espèces d'insectes depuis les années 1990. Selon eux, l'effondrement des abeilles domestiques n'est que la partie visible de ce phénomène aux conséquences considérables pour l'ensemble des écosystèmes.
« Au terme d'une longue journée de discussions, nous avons décidé d'examiner tout ce qui avait été publié dans la littérature scientifique sur les insecticides systémiques dits “néonicotinoïdes”, poursuit-il. Cette nouvelle génération de molécules, mise sur le marché dans les années 1990, nous semblait être un élément déterminant pour expliquer la situation. »
« Je pense que j'ai dû me réveiller vers le milieu des années 2000. Un jour, alors que je marchais près de chez moi, dans la garrigue, je me suis demandé où étaient passés les insectes, car il me semblait qu'il y en avait beaucoup moins qu'avant, raconte Maarten Bijleveld van Lexmond. Et puis j'ai réalisé qu'il y en avait aussi de moins en moins collés sur le pare-brise et la calandre de ma voiture. Presque plus, en fait. » En juillet 2009, dans sa maison de Notre-Dame-de-Londres (Hérault), le biologiste néerlandais, 77 ans, réunit une douzaine d'entomologistes partageant la même inquiétude.
Tous notent un déclin accéléré de toutes les espèces d'insectes depuis les années 1990. Selon eux, l'effondrement des abeilles domestiques n'est que la partie visible de ce phénomène aux conséquences considérables pour l'ensemble des écosystèmes.
« Au terme d'une longue journée de discussions, nous avons décidé d'examiner tout ce qui avait été publié dans la littérature scientifique sur les insecticides systémiques dits “néonicotinoïdes”, poursuit-il. Cette nouvelle génération de molécules, mise sur le marché dans les années 1990, nous semblait être un élément déterminant pour expliquer la situation. »
- Didier Bourjon
- Administrateur
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Re: Écologie
Ce matin, une hirondelle rentre par la porte-fenêtre de mon bureau, fait un tour de la pièce pour l'inspecter tranquillement en vue d'une possible habitation, et repart ayant constaté l'inintérêt du lieu pour elle. Les hirondelles aussi ont presque disparu de nos campagnes. C'est qu'il leur faut des maisons biscornues, avec des fentes et des ouvertures, pour pouvoir nicher ! Or cela devient rarissime, le "pavillonnaire" ou la "modernisation" de l'ancien faisant rage... Ce matin encore, deux jeunes oiseaux étaient tombés du nid logé dans la glycine qui ombrage la sortie de cette pièce : dénichés par un coucou ? par un prédateur ? je ne sais pas. L'endroit est un peu un refuge pour les oiseaux les plus divers, leur chant ponctue les moments du jour, d'un crépuscule à l'autre : grives en tous genres, et même bécasses, pics divers, tourterelles et pigeons, merles, pies, rouge-gorges, et tant d'autres que je ne sais malheureusement pas reconnaître... On remarque aussi avec surprise quelques papillons — c'est-à-dire qu'on se rend compte alors qu'on n'en voit presque plus.
Le "petit gibier", même dans une campagne qui reste relativement bocagère, survit à peine du fait de la mécanisation à outrance de l'agriculture, et de sa chimie intensive (je suis pourtant dans une commune "bio"...). Reste les chevreuils et les cerfs qui tirent relativement leur épingle du jeu, et les sangliers qui, eux, deviennent comme partout proliférants.
Le bas du jardin, la nuit :

Le "petit gibier", même dans une campagne qui reste relativement bocagère, survit à peine du fait de la mécanisation à outrance de l'agriculture, et de sa chimie intensive (je suis pourtant dans une commune "bio"...). Reste les chevreuils et les cerfs qui tirent relativement leur épingle du jeu, et les sangliers qui, eux, deviennent comme partout proliférants.
Le bas du jardin, la nuit :

- Eric Veron
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Re: Écologie
Bienheureux homme. Vous le valez bien.
By the way :
By the way :
Je ne suis pas bien sûr que cela soit malheureux. M'autoriseriez-vous à penser que, les reconnaisant, vous les connaîtriez moins ?et tant d'autres que je ne sais malheureusement pas reconnaître...
- Philippe Versini
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Re: Écologie
Voici une demande d'aide de Pollinis afin de sauver les abeilles.
Cher ami, chère amie,
Avez-vous déjà eu l'occasion d'observer la méthode de chasse impitoyable du frelon asiatique lorsqu'il s'attaque aux abeilles ?
Un bataillon d'une dizaine de frelons se met en formation devant l'entrée de la ruche. En vol stationnaire, les chasseurs guettent avec attention le moindre mouvement provenant de l'intérieur…
Dans la ruche, c'est l'émoi : les abeilles savent bien ce qui les attend si elles s'aventurent hors des murs protecteurs de leur abri. Et pourtant, il faut bien aller butiner, pour récolter le pollen nécessaire à nourrir les larves, et le nectar essentiel pour produire les réserves de miel qui assureront la survie de la colonie.
Quelques abeilles courageuses se dévouent et tentent une sortie. Elles sont immédiatement attrapées au vol par les frelons en embuscade, instantanément décapitées, et leurs corps ramenés au nid pour être dévorés par la progéniture frelone.
Puis l'escouade se remet en place devant la ruche, et renouvelle l'opération. Les abeilles n'ont aucune chance face à ces prédateurs, 2 fois plus grands qu'elles et organisés en véritable commando !
On estime qu'un seul nid de frelons asiatiques près d'un rucher peut l'anéantir en quelques semaines.
Pour les apiculteurs, c'est l'horreur : ils n'ont aucun moyen de protéger leurs abeilles de ces attaques !
Ils peuvent toujours essayer de piéger les frelons un par un (en essayant de ne pas se faire piquer), mais les larves grandissent vite : l'armée de frelons se reconstitue à toute vitesse, et il suffit de quelques jours pour que le bataillon de chasseurs soit de nouveau en embuscade devant les ruches.
Pour vraiment se débarrasser de ces nuisibles, il faut détruire leurs nids. Seulement voilà : non seulement ils sont savamment dissimulés, et pratiquement impossibles à localiser, mais en plus on ne dispose à l'heure actuelle que de moyens chimiques très polluants pour les neutraliser !
C'est pour tenter de résoudre ce problème qu'une équipe s'est mise en place, aux côtés de Pollinis, pour élaborer un système de repérage et de destruction des nids de frelons asiatiques. Et nous faisons appel à vous, aujourd'hui, pour nous aider à concrétiser ce système.
Introduit "par erreur" en France en 2004, le frelon asiatique met en péril l'écosystème déjà fragilisé par les mauvaises pratiques de l'agriculture intensive. Espèce non endémique, il remet en cause les rapports proie-prédateur traditionnels, et menace l'ensemble de la biodiversité française.
Surtout, en s'attaquant aux colonies d'abeilles – déjà bien affaiblies par les produits chimiques déversés dans les champs, les parasites, et la perte de diversité de la flore agricole ! – le frelon asiatique est un risque supplémentaire de voir s'effondrer les colonies d'abeilles.
Et avec elles, le potentiel de pollinisation indispensable pour maintenir les cultures et sécuriser l'alimentation de toute la population.
Il ne s'agit pas seulement d'un nuisible dont il faut se protéger pour éviter la piqûre – par exemple, lors des repas d'été en terrasse – comme c'est le cas avec le frelon européen.
Ici, l'enjeu est bien plus grave : sans les abeilles et leur travail de pollinisation, quel avenir laissons-nous à nos enfants ? Comment pourront-ils se nourrir convenablement et rester en bonne santé, si l'équilibre fragile qui permet la reproduction des plantes dont nous avons besoin est détruit ?
Vous le savez aussi bien que moi, il y a beaucoup de choses à faire pour sauver les abeilles. Les protéger de prédateurs comme le frelon asiatique, capable de décimer les colonies en quelques jours, en fait partie.
Mais comme je vous l'ai dit, les apiculteurs ont beau lutter avec acharnement contre ces nuisibles, ils reviennent toujours en surnombre prendre les abeilles en embuscade devant les ruches – tout ça parce qu'on a le plus grand mal à trouver et détruire leur nid !
L'équipe d'ingénieurs et d'apiculteurs avec laquelle travaille Pollinis a peut-être trouvé un système efficace pour repérer et détruire proprement – sans produits chimiques - les nids de frelons. Mais pour concrétiser leur travail, il faut trouver très vite 40 000 euros.
C'est un budget, mais si le système fonctionne, ce sont des centaines de milliers de colonies d'abeilles qui seront épargnées !
Guillaume Losfeld, François Espinet et Jérémie Laurent, les trois ingénieurs polytechniciens de l'équipe, ont travaillé pendant près de trois ans sur des systèmes de localisation et de destruction "propres" des nids de frelons asiatiques, qui pourrait être manipulé par tous les apiculteurs, et à moindre coût.
Après plusieurs tentatives, ils se sont finalement inspirés d'abeilles asiatiques, Apis ceranae, qui contrairement à leurs cousines européennes savent se défendre contre le frelon asiatique : elles forment une boule autour du frelon, et en agitant leurs ailes, produisent une chaleur et une humidité qui, sans doute combinées à un effet d'écrasement, sont fatales à l’agresseur. C’est la technique dite du “thermo-balling”.
Les ingénieurs ont donc imaginé une technique leur permettant d'introduire une chaleur intense directement à l'intérieur du nid de frelons, à l'aide d'une perche télescopique à longueur modulable (pour atteindre même les nids perchés en hauteur dans les châtaigneraies et les pinèdes) et d'une tête foreuse (pour entrer dans le nid).
Cette invention, pratique, facile à utiliser et peu coûteuse, permettrait à des milliers d'apiculteurs de protéger leurs ruches contre l'invasion de frelons asiatiques. Comme aucun produit chimique n'est utilisé, la nature n'est pas endommagée par cette pratique, et les oiseaux peuvent se nourrir des frelons ainsi neutralisés.
C'est pour développer ce système et permettre l'aboutissement du projet que je vous écris aujourd'hui, pour vous demander votre aide, et votre soutien dans ce projet indispensable pour stopper la prolifération de ce prédateur en France et en Europe, et protéger durablement les abeilles.
Les premières phases de recherche qui ont permis d'arriver à cette invention ont été prises en charge par POLLINIS depuis deux ans. Afin de produire ce système à bas coût pour les apiculteurs et tous ceux qui en ont besoin (communes, particuliers...), il faut trouver encore les 40 000 euros dont je vous ai parlé, notamment pour une machine qui permet de fabriquer les composants sur mesure.
Pour financer cette étape indispensable, et permettre la concrétisation du projet, nous faisons appel à vous : ce projet pourrait avoir un impact positif déterminant pour la survie des abeilles en France et en Europe.
Mais sans financement, il tombe à l'eau, et avec lui le meilleur espoir qu'on ait, à l'heure actuelle, de débarrasser les abeilles de ce prédateur impitoyable.
C'est pourquoi je vous demande, si vous le pouvez, de nous aider par votre don à concrétiser le système de localisation et destruction des nids de frelons asiatiques mis au point par les ingénieurs.
Vous pouvez donner 5 euros, 20 euros, 50 euros, 200 euros, ou tout autre montant qui vous paraît approprié. L'important, c'est que chacun participe, selon ses moyens, à empêcher la prolifération du frelon asiatique, pour l'empêcher d'exterminer des colonies entières d'abeilles à travers la France et l'Europe.
Chaque contribution, même petite, est utile pour nous permettre de lancer au plus vite la concrétisation du système.
http://www.pollinis.org/anti-frelon-asiatique/
Cher ami, chère amie,
Avez-vous déjà eu l'occasion d'observer la méthode de chasse impitoyable du frelon asiatique lorsqu'il s'attaque aux abeilles ?
Un bataillon d'une dizaine de frelons se met en formation devant l'entrée de la ruche. En vol stationnaire, les chasseurs guettent avec attention le moindre mouvement provenant de l'intérieur…
Dans la ruche, c'est l'émoi : les abeilles savent bien ce qui les attend si elles s'aventurent hors des murs protecteurs de leur abri. Et pourtant, il faut bien aller butiner, pour récolter le pollen nécessaire à nourrir les larves, et le nectar essentiel pour produire les réserves de miel qui assureront la survie de la colonie.
Quelques abeilles courageuses se dévouent et tentent une sortie. Elles sont immédiatement attrapées au vol par les frelons en embuscade, instantanément décapitées, et leurs corps ramenés au nid pour être dévorés par la progéniture frelone.
Puis l'escouade se remet en place devant la ruche, et renouvelle l'opération. Les abeilles n'ont aucune chance face à ces prédateurs, 2 fois plus grands qu'elles et organisés en véritable commando !
On estime qu'un seul nid de frelons asiatiques près d'un rucher peut l'anéantir en quelques semaines.
Pour les apiculteurs, c'est l'horreur : ils n'ont aucun moyen de protéger leurs abeilles de ces attaques !
Ils peuvent toujours essayer de piéger les frelons un par un (en essayant de ne pas se faire piquer), mais les larves grandissent vite : l'armée de frelons se reconstitue à toute vitesse, et il suffit de quelques jours pour que le bataillon de chasseurs soit de nouveau en embuscade devant les ruches.
Pour vraiment se débarrasser de ces nuisibles, il faut détruire leurs nids. Seulement voilà : non seulement ils sont savamment dissimulés, et pratiquement impossibles à localiser, mais en plus on ne dispose à l'heure actuelle que de moyens chimiques très polluants pour les neutraliser !
C'est pour tenter de résoudre ce problème qu'une équipe s'est mise en place, aux côtés de Pollinis, pour élaborer un système de repérage et de destruction des nids de frelons asiatiques. Et nous faisons appel à vous, aujourd'hui, pour nous aider à concrétiser ce système.
Introduit "par erreur" en France en 2004, le frelon asiatique met en péril l'écosystème déjà fragilisé par les mauvaises pratiques de l'agriculture intensive. Espèce non endémique, il remet en cause les rapports proie-prédateur traditionnels, et menace l'ensemble de la biodiversité française.
Surtout, en s'attaquant aux colonies d'abeilles – déjà bien affaiblies par les produits chimiques déversés dans les champs, les parasites, et la perte de diversité de la flore agricole ! – le frelon asiatique est un risque supplémentaire de voir s'effondrer les colonies d'abeilles.
Et avec elles, le potentiel de pollinisation indispensable pour maintenir les cultures et sécuriser l'alimentation de toute la population.
Il ne s'agit pas seulement d'un nuisible dont il faut se protéger pour éviter la piqûre – par exemple, lors des repas d'été en terrasse – comme c'est le cas avec le frelon européen.
Ici, l'enjeu est bien plus grave : sans les abeilles et leur travail de pollinisation, quel avenir laissons-nous à nos enfants ? Comment pourront-ils se nourrir convenablement et rester en bonne santé, si l'équilibre fragile qui permet la reproduction des plantes dont nous avons besoin est détruit ?
Vous le savez aussi bien que moi, il y a beaucoup de choses à faire pour sauver les abeilles. Les protéger de prédateurs comme le frelon asiatique, capable de décimer les colonies en quelques jours, en fait partie.
Mais comme je vous l'ai dit, les apiculteurs ont beau lutter avec acharnement contre ces nuisibles, ils reviennent toujours en surnombre prendre les abeilles en embuscade devant les ruches – tout ça parce qu'on a le plus grand mal à trouver et détruire leur nid !
L'équipe d'ingénieurs et d'apiculteurs avec laquelle travaille Pollinis a peut-être trouvé un système efficace pour repérer et détruire proprement – sans produits chimiques - les nids de frelons. Mais pour concrétiser leur travail, il faut trouver très vite 40 000 euros.
C'est un budget, mais si le système fonctionne, ce sont des centaines de milliers de colonies d'abeilles qui seront épargnées !
Guillaume Losfeld, François Espinet et Jérémie Laurent, les trois ingénieurs polytechniciens de l'équipe, ont travaillé pendant près de trois ans sur des systèmes de localisation et de destruction "propres" des nids de frelons asiatiques, qui pourrait être manipulé par tous les apiculteurs, et à moindre coût.
Après plusieurs tentatives, ils se sont finalement inspirés d'abeilles asiatiques, Apis ceranae, qui contrairement à leurs cousines européennes savent se défendre contre le frelon asiatique : elles forment une boule autour du frelon, et en agitant leurs ailes, produisent une chaleur et une humidité qui, sans doute combinées à un effet d'écrasement, sont fatales à l’agresseur. C’est la technique dite du “thermo-balling”.
Les ingénieurs ont donc imaginé une technique leur permettant d'introduire une chaleur intense directement à l'intérieur du nid de frelons, à l'aide d'une perche télescopique à longueur modulable (pour atteindre même les nids perchés en hauteur dans les châtaigneraies et les pinèdes) et d'une tête foreuse (pour entrer dans le nid).
Cette invention, pratique, facile à utiliser et peu coûteuse, permettrait à des milliers d'apiculteurs de protéger leurs ruches contre l'invasion de frelons asiatiques. Comme aucun produit chimique n'est utilisé, la nature n'est pas endommagée par cette pratique, et les oiseaux peuvent se nourrir des frelons ainsi neutralisés.
C'est pour développer ce système et permettre l'aboutissement du projet que je vous écris aujourd'hui, pour vous demander votre aide, et votre soutien dans ce projet indispensable pour stopper la prolifération de ce prédateur en France et en Europe, et protéger durablement les abeilles.
Les premières phases de recherche qui ont permis d'arriver à cette invention ont été prises en charge par POLLINIS depuis deux ans. Afin de produire ce système à bas coût pour les apiculteurs et tous ceux qui en ont besoin (communes, particuliers...), il faut trouver encore les 40 000 euros dont je vous ai parlé, notamment pour une machine qui permet de fabriquer les composants sur mesure.
Pour financer cette étape indispensable, et permettre la concrétisation du projet, nous faisons appel à vous : ce projet pourrait avoir un impact positif déterminant pour la survie des abeilles en France et en Europe.
Mais sans financement, il tombe à l'eau, et avec lui le meilleur espoir qu'on ait, à l'heure actuelle, de débarrasser les abeilles de ce prédateur impitoyable.
C'est pourquoi je vous demande, si vous le pouvez, de nous aider par votre don à concrétiser le système de localisation et destruction des nids de frelons asiatiques mis au point par les ingénieurs.
Vous pouvez donner 5 euros, 20 euros, 50 euros, 200 euros, ou tout autre montant qui vous paraît approprié. L'important, c'est que chacun participe, selon ses moyens, à empêcher la prolifération du frelon asiatique, pour l'empêcher d'exterminer des colonies entières d'abeilles à travers la France et l'Europe.
Chaque contribution, même petite, est utile pour nous permettre de lancer au plus vite la concrétisation du système.
http://www.pollinis.org/anti-frelon-asiatique/
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