Les collabos, les Kapos, et les lâches
- Didier Bourjon
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Re: Les collabos, les Kapos, et les lâches
Recalée d’un entretien d’embauche à l’Opéra de Paris pour avoir fait un stage à Valeurs actuelles (par Lettre Patriote)
« Adélaïde, stagiaire chez Valeurs Actuelles depuis cinq mois, a été recalée d’un entretien d’embauche à l’Association pour le rayonnement de l’Opéra national de Paris (AROP) en raison de son passé dans la presse “d’extrême droite”.
La responsable me demande de me présenter. Enthousiaste et honorée d’être là, au cœur de cette institution réputée dans le monde entier, je me lance : "Je m’appelle Adélaïde. J’ai 23 ans. Après une double licence histoire-science politique à la Sorbonne, j’ai effectué un master 1 et un master 2 de science-politique spécialisé en communication politique et institutionnelle toujours dans le même établissement." Elle sourit et semble contente de constater que je sors de cette université parisienne. Je poursuis en évoquant longuement ma passion pour l’art et notamment le ballet. Je montre à mon interlocutrice que je connais bien les rouages de l’Opéra de Paris et que je suis quotidiennement son actualité.[…]
Camille confie m’avoir fait venir à cet entretien pour que je m’explique. "Vous pensiez vraiment qu’avec un tel CV vous pourriez être embauchée dans le monde de la culture ?", me dit-elle, sardonique, tout en me concédant une certaine forme de courage (j’aurais pu passer sous silence mes expériences dans la presse d’opinion). "On va s’arrêter là pour ne pas vous faire perdre votre temps et le mien", finit-elle par lâcher, visiblement lassée par son propre sadisme. Tout est clair : elle avait aucunement l’intention de prendre sérieusement en compte ma candidature.
Étonnée par la tournure que prend l’entretien, je lui dis posément : "Attendez Madame, avant de partir j’aimerais revenir sur un point. Tout cela est bien paradoxal. Vous prônez à juste titre la diversité et l’inclusion, mais vous fermez vos portes à une jeune femme compétente seulement parce qu’elle n’a pas les mêmes convictions politiques que celles de votre équipe et des vôtres." Camille me répond en souriant : "Mais Madame, le racisme n’est pas une opinion, c’est un délit." »
« Adélaïde, stagiaire chez Valeurs Actuelles depuis cinq mois, a été recalée d’un entretien d’embauche à l’Association pour le rayonnement de l’Opéra national de Paris (AROP) en raison de son passé dans la presse “d’extrême droite”.
La responsable me demande de me présenter. Enthousiaste et honorée d’être là, au cœur de cette institution réputée dans le monde entier, je me lance : "Je m’appelle Adélaïde. J’ai 23 ans. Après une double licence histoire-science politique à la Sorbonne, j’ai effectué un master 1 et un master 2 de science-politique spécialisé en communication politique et institutionnelle toujours dans le même établissement." Elle sourit et semble contente de constater que je sors de cette université parisienne. Je poursuis en évoquant longuement ma passion pour l’art et notamment le ballet. Je montre à mon interlocutrice que je connais bien les rouages de l’Opéra de Paris et que je suis quotidiennement son actualité.[…]
Camille confie m’avoir fait venir à cet entretien pour que je m’explique. "Vous pensiez vraiment qu’avec un tel CV vous pourriez être embauchée dans le monde de la culture ?", me dit-elle, sardonique, tout en me concédant une certaine forme de courage (j’aurais pu passer sous silence mes expériences dans la presse d’opinion). "On va s’arrêter là pour ne pas vous faire perdre votre temps et le mien", finit-elle par lâcher, visiblement lassée par son propre sadisme. Tout est clair : elle avait aucunement l’intention de prendre sérieusement en compte ma candidature.
Étonnée par la tournure que prend l’entretien, je lui dis posément : "Attendez Madame, avant de partir j’aimerais revenir sur un point. Tout cela est bien paradoxal. Vous prônez à juste titre la diversité et l’inclusion, mais vous fermez vos portes à une jeune femme compétente seulement parce qu’elle n’a pas les mêmes convictions politiques que celles de votre équipe et des vôtres." Camille me répond en souriant : "Mais Madame, le racisme n’est pas une opinion, c’est un délit." »
- Didier Bourjon
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Re: Les collabos, les Kapos, et les lâches
D'un du dit "Printemps républicain" ; lequel masque mal qu'il l'espère républicain islamique.


- Didier Bourjon
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Re: Les collabos, les Kapos, et les lâches

Pour indiquer la multiplication de ces agressions ces derniers temps, dans l'indifférence des médias, bien entendu.
- Alain Georges
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Re: Les collabos, les Kapos, et les lâches
https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/politique/meurtre-dalban-gervaise-pas-dhommage-national
Réservé aux abonnés :
L'essentiel
"Le médecin en chef Alban Gervaise, qui avait été fait chevalier de l’ordre national du Mérite le 22 avril, décoré de la médaille d’honneur du Service de Santé des armées, était un homme courageux. Pas seulement dans l’exercice de ses fonctions, comme radiologue praticien professeur agrégé depuis 2020, et comme belle figure d’officier au service de la France pendant vingt-deux ans. Mais aussi lorsqu’il a été égorgé de dix coups de couteaux par Mohammed L., le 10 mai, alors qu’il venait chercher ses deux enfants de 7 et 3 ans à la sortie de l’école et qu’il a voulu les préserver. ............... À Marseille, comme dans le reste de la France, la communauté des médecins militaires a été bouleversée par l’annonce de son décès.
« On a l’impression qu’une bulle de silence s’est abattue sur ce fait divers dramatique », décrypte un officier. Un silence qui a été expressément demandé par l’épouse d’Alban Gervaise pour protéger ses enfants. Mais un silence coupable au plus haut niveau de l’État. Un silence « écrasant », pour le député LR des Bouches-du-Rhône, Guy Teissier, et « surprenant de la part des médias si prompts à s’enflammer dans certains cas… mais pas celui là ». « Un silence qui a transformé ce crime sordide, odieux, barbare perpétré devant son enfant en un simple fait divers », ajoute le député Éric Ciotti. « Tout a été fait pour que la médiasphère ne s’empare pas d’un sujet qui serait au crédit de l’extrême droite », ajoute un militaire pour qui « le gouvernement ne veut plus entendre parler de terrorisme et encore moins dans une ville devenue le porte étendard de l’islamisme en France ».
« La dissimulation de ce drame »
..........................Une dissimulation qui s’est illustrée jeudi 2 juin, alors qu’Emmanuel Macron visitait une école publique justement à Marseille avec son ministre de l’Éducation Pap Ndiaye. Le chef de l’État n’a eu ni un geste ni un mot sur ce drame. « Ce geste aurait été bienvenu ; il ne s’est pas produit. Cela participe à cette banalisation qui est déjà une forme de soumission et de renoncement », tempête Éric Ciotti. Et de lâcheté.
Sa.....................La cérémonie religieuse se déroulera le même jour à 11 heures en l’église Saint-Jérôme, suivie de l’inhumation dans la plus stricte intimité, “sans fleur ni couronne”. Et sans hommage de la nation.
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L'essentiel
"Le médecin en chef Alban Gervaise, qui avait été fait chevalier de l’ordre national du Mérite le 22 avril, décoré de la médaille d’honneur du Service de Santé des armées, était un homme courageux. Pas seulement dans l’exercice de ses fonctions, comme radiologue praticien professeur agrégé depuis 2020, et comme belle figure d’officier au service de la France pendant vingt-deux ans. Mais aussi lorsqu’il a été égorgé de dix coups de couteaux par Mohammed L., le 10 mai, alors qu’il venait chercher ses deux enfants de 7 et 3 ans à la sortie de l’école et qu’il a voulu les préserver. ............... À Marseille, comme dans le reste de la France, la communauté des médecins militaires a été bouleversée par l’annonce de son décès.
« On a l’impression qu’une bulle de silence s’est abattue sur ce fait divers dramatique », décrypte un officier. Un silence qui a été expressément demandé par l’épouse d’Alban Gervaise pour protéger ses enfants. Mais un silence coupable au plus haut niveau de l’État. Un silence « écrasant », pour le député LR des Bouches-du-Rhône, Guy Teissier, et « surprenant de la part des médias si prompts à s’enflammer dans certains cas… mais pas celui là ». « Un silence qui a transformé ce crime sordide, odieux, barbare perpétré devant son enfant en un simple fait divers », ajoute le député Éric Ciotti. « Tout a été fait pour que la médiasphère ne s’empare pas d’un sujet qui serait au crédit de l’extrême droite », ajoute un militaire pour qui « le gouvernement ne veut plus entendre parler de terrorisme et encore moins dans une ville devenue le porte étendard de l’islamisme en France ».
« La dissimulation de ce drame »
..........................Une dissimulation qui s’est illustrée jeudi 2 juin, alors qu’Emmanuel Macron visitait une école publique justement à Marseille avec son ministre de l’Éducation Pap Ndiaye. Le chef de l’État n’a eu ni un geste ni un mot sur ce drame. « Ce geste aurait été bienvenu ; il ne s’est pas produit. Cela participe à cette banalisation qui est déjà une forme de soumission et de renoncement », tempête Éric Ciotti. Et de lâcheté.
Sa.....................La cérémonie religieuse se déroulera le même jour à 11 heures en l’église Saint-Jérôme, suivie de l’inhumation dans la plus stricte intimité, “sans fleur ni couronne”. Et sans hommage de la nation.