Les collabos, les Kapos, et les lâches
- Didier Bourjon
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Re: Les collabos, les Kapos, et les lâches


Silence total des médias, bien qu'il s'agisse de l'un des leurs...
***
Un champion multi-récidiviste :

- Didier Bourjon
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Re: Les collabos, les Kapos, et les lâches
“J’ai une cible dans le dos, je ne vois pas comment on pourrait assurer ma sécurité”
Invité de BFM TV, le professeur de philosophie Didier Lemaire est revenu sur la polémique dont il fait l’objet depuis un mois pour avoir dénoncé l’islamisation de la ville de Trappes, où il enseigne depuis vingt ans. «Je maintiens mes propos. Trappes est une ville perdue», a-t-il déclaré au journaliste Bruce Toussaint.
Invité de BFM TV, le professeur de philosophie Didier Lemaire est revenu sur la polémique dont il fait l’objet depuis un mois pour avoir dénoncé l’islamisation de la ville de Trappes, où il enseigne depuis vingt ans. «Je maintiens mes propos. Trappes est une ville perdue», a-t-il déclaré au journaliste Bruce Toussaint.
- Didier Bourjon
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Re: Les collabos, les Kapos, et les lâches
En Irak, le pape François s’est-il fait rouler dans la farine ? (Bd Voltaire)
« Le pape François s’est rendu en Irak, où il a appelé à préserver « la fraternité » et à « espérer contre toute espérance ». Il a aussi exprimé sa solidarité avec les chrétiens d’Orient, bien délaissés jusqu’à présent. Mais, au-delà d’un accueil chaleureux et d’une rencontre avec l’ayatollah Ali Husseini al-Sistani abondamment relayée par les médias, il n’est pas certain que les autorités musulmanes lui aient manifesté, en retour, un sentiment de fraternité sans arrière-pensées.
Un incident serait passé inaperçu si un journaliste de L’1visible, mensuel d’information catholique, ne l’avait pas relevé. Lors d’une cérémonie, un extrait du Coran a été chanté en présence du pape : quelques versets de la sourate Ibrahim, un choix apparemment opportun en cette terre d’Abraham. Le verset 42 est généralement traduit ainsi : « Et ne pense point qu’Allāh soit inattentif à ce que font les injustes. Il leur accordera un délai jusqu’au jour où leurs regards se figeront. » Autrement dit, les « injustes » ne perdent rien pour attendre. Ils subiront, tôt ou tard, la punition d’Allah.
Comme le fait remarquer le journaliste, « les injustes faisaient amplement l’affaire ». Mais les termes arabes signifient « les oppresseurs » et « les polythéistes » ou « idolâtres » ou encore « associateurs », ce dernier terme visant les personnes qui donnent à Dieu des associés, notamment les chrétiens. Ce sont ces mots qui ont été repris dans la traduction anglaise, ce qui ne peut être imputé au hasard. Associer des créatures au Créateur, c’est un péché impardonnable, si le coupable ne se repent pas. Le Coran condamne les associateurs et appelle, à défaut de leur conversion, à leur éradication. Voilà, sans doute, une belle leçon de tolérance et de liberté religieuse. »

« Le pape François s’est rendu en Irak, où il a appelé à préserver « la fraternité » et à « espérer contre toute espérance ». Il a aussi exprimé sa solidarité avec les chrétiens d’Orient, bien délaissés jusqu’à présent. Mais, au-delà d’un accueil chaleureux et d’une rencontre avec l’ayatollah Ali Husseini al-Sistani abondamment relayée par les médias, il n’est pas certain que les autorités musulmanes lui aient manifesté, en retour, un sentiment de fraternité sans arrière-pensées.
Un incident serait passé inaperçu si un journaliste de L’1visible, mensuel d’information catholique, ne l’avait pas relevé. Lors d’une cérémonie, un extrait du Coran a été chanté en présence du pape : quelques versets de la sourate Ibrahim, un choix apparemment opportun en cette terre d’Abraham. Le verset 42 est généralement traduit ainsi : « Et ne pense point qu’Allāh soit inattentif à ce que font les injustes. Il leur accordera un délai jusqu’au jour où leurs regards se figeront. » Autrement dit, les « injustes » ne perdent rien pour attendre. Ils subiront, tôt ou tard, la punition d’Allah.
Comme le fait remarquer le journaliste, « les injustes faisaient amplement l’affaire ». Mais les termes arabes signifient « les oppresseurs » et « les polythéistes » ou « idolâtres » ou encore « associateurs », ce dernier terme visant les personnes qui donnent à Dieu des associés, notamment les chrétiens. Ce sont ces mots qui ont été repris dans la traduction anglaise, ce qui ne peut être imputé au hasard. Associer des créatures au Créateur, c’est un péché impardonnable, si le coupable ne se repent pas. Le Coran condamne les associateurs et appelle, à défaut de leur conversion, à leur éradication. Voilà, sans doute, une belle leçon de tolérance et de liberté religieuse. »

- Eric Veron
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Re: Les collabos, les Kapos, et les lâches
Gentil François est venu dire aux musulmans d'être gentils avec les chrétiens. Réponse — toujours la même — Le pape ? Combien de divisions ?
- Eric Veron
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Re: Les collabos, les Kapos, et les lâches
Humainement...Humainement... mais de quoi il cause, lui



- Didier Bourjon
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Re: Les collabos, les Kapos, et les lâches
Sciences Po Grenoble : un ferme rappel à l’ordre pour l'un des deux professeurs accusé d'islamophobie (Le Dauphiné)
« Contactée par téléphone, elle explique que "si une motion a été approuvée pour rappeler les valeurs fondamentales de cette université mais aussi souligner les efforts pris par la direction pour essayer de retrouver la sérénité", l’équipe pédagogique et la direction sont « stupéfaites par le 'déraillement' médiatique" dont fait preuve l’un des professeurs ayant vu son nom placardé. Elle rappelle que "si la liberté de la parole et de la parole académique sont les garanties du bon fonctionnement" de l’IEP, "elles s’accompagnent d’un droit de réserve."
En clair, la directrice de l’IEP, et ses collègues, n’ont guère goûté l’omniprésence médiatique de l’un des professeurs. Au point de créer une fracture entre enseignants : "Pour le reste de l’équipe, il est difficile de voir l’un de leurs collègues aller en place publique pour raconter sa version des faits ! Surtout quand il y a une grande différence d’interprétation entre comment il présente sa version et ce que nous vivons réellement."
Sabine Saurugger est aussi revenue sur les propos des professeurs qui leur ont valu les collages du 4 mars. Elle estime que si les professeurs peuvent débattre de l’islam, le ton employé est "extrêmement problématique". Elle révèle aussi que les professeurs ont fait l’objet d’un rappel à l’ordre et qu’une "incitation au dialogue a été entreprise".
Ce mercredi 10 mars a aussi marqué l’arrivée des deux inspecteurs généraux missionnés par Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur. Ces deux représentants du Rectorat n’ont pas "pour missions de trouver les auteurs de collages mais ils doivent permettre de comprendre comment ces accusations ont pu arriver sur la place publique". Leurs conclusions peuvent amener à des sanctions disciplinaires plus graves concernant les professeurs, mais elles doivent aussi permettre à la direction de "savoir comment affronter collectivement cette situation pour retrouver une collaboration permettant d’enseigner". Notamment vis-à-vis des syndicats étudiants qui dénoncent l’islamophobie des professeurs.
Sabine Saurugger rappelle aussi que, si le dispositif de sécurité a été renforcé autour de l’IEP, il n’est pas question que l’établissement soit fermé. »
***
La honte, l'indignité, la lâcheté, etc.
Encore et toujours la nostalgie d'un Murat : "Foutez-moi tout ça dehors !".
« Contactée par téléphone, elle explique que "si une motion a été approuvée pour rappeler les valeurs fondamentales de cette université mais aussi souligner les efforts pris par la direction pour essayer de retrouver la sérénité", l’équipe pédagogique et la direction sont « stupéfaites par le 'déraillement' médiatique" dont fait preuve l’un des professeurs ayant vu son nom placardé. Elle rappelle que "si la liberté de la parole et de la parole académique sont les garanties du bon fonctionnement" de l’IEP, "elles s’accompagnent d’un droit de réserve."
En clair, la directrice de l’IEP, et ses collègues, n’ont guère goûté l’omniprésence médiatique de l’un des professeurs. Au point de créer une fracture entre enseignants : "Pour le reste de l’équipe, il est difficile de voir l’un de leurs collègues aller en place publique pour raconter sa version des faits ! Surtout quand il y a une grande différence d’interprétation entre comment il présente sa version et ce que nous vivons réellement."
Sabine Saurugger est aussi revenue sur les propos des professeurs qui leur ont valu les collages du 4 mars. Elle estime que si les professeurs peuvent débattre de l’islam, le ton employé est "extrêmement problématique". Elle révèle aussi que les professeurs ont fait l’objet d’un rappel à l’ordre et qu’une "incitation au dialogue a été entreprise".
Ce mercredi 10 mars a aussi marqué l’arrivée des deux inspecteurs généraux missionnés par Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur. Ces deux représentants du Rectorat n’ont pas "pour missions de trouver les auteurs de collages mais ils doivent permettre de comprendre comment ces accusations ont pu arriver sur la place publique". Leurs conclusions peuvent amener à des sanctions disciplinaires plus graves concernant les professeurs, mais elles doivent aussi permettre à la direction de "savoir comment affronter collectivement cette situation pour retrouver une collaboration permettant d’enseigner". Notamment vis-à-vis des syndicats étudiants qui dénoncent l’islamophobie des professeurs.
Sabine Saurugger rappelle aussi que, si le dispositif de sécurité a été renforcé autour de l’IEP, il n’est pas question que l’établissement soit fermé. »
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La honte, l'indignité, la lâcheté, etc.
Encore et toujours la nostalgie d'un Murat : "Foutez-moi tout ça dehors !".