Alerte dissémination
- Didier Bourjon
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Re: Alerte dissémination
« On apprend, en effet, par Ouest France, que la petite ville de Piriac-sur-Mer, en Loire-Atlantique, vient de voir sa population augmenter de 5 % en une semaine. Comment s’est accompli ce miracle ? En bus. La petite station balnéaire, qui compte 2.250 habitants, a ainsi vu débarquer 115 migrants. “La préfecture de Loire-Atlantique à la recherche d’hébergements temporaires a pris contact avec différents établissements disponibles ou en manque d’activité du fait de la crise sanitaire. Via une convention assurant le remboursement des frais de logement et de restauration, deux établissements, à Préfailles et à Piriac-sur-Mer, hébergent des migrants en situation précaire.” Bref, nous paierons.
"pour rassurer la population et orienter les migrants, la police municipale et la gendarmerie multiplient leurs rondes " souhaite préciser la Ville de Piriac” (Ouest France). Ah bon ? Et pourquoi donc ?
Le cas de Piriac-sur-Mer n’est pas isolé. On apprend aussi, par Valeurs actuelles, que "face à la vague de grand froid qui s’annonce dans les jours à venir, et en particulier à partir de ce lundi 8 février, la préfecture du Nord a décidé de prendre des mesures", à savoir « l’ouverture de 170 places “supplémentaires” rien que pour les exilés du camp de Grande-Synthe alors que 200 personnes y vivent ». Moi qui croyais que Calais, Grande-Synthe, tout ça, c’était de l’histoire ancienne… Voyez comme je suis bête !
Selon un communiqué de la préfecture, sur ces 170 personnes, "78 ont déjà accepté". Parce qu’il y en a qui refusent, en plus ? L’explication tient peut-être dans cette phrase sibylline : "Il ne s’agit pas d’une solution à long terme ni “durable” et que les migrants devraient plutôt faire une demande d’asile."
Les associations ne sont pas satisfaites non plus, comme Salam (sic), qui déplore que les places d’hébergement proposées aux migrants clandestins "ne correspondent pas à leurs besoins". » (Delarue, Bd Voltaire)
"pour rassurer la population et orienter les migrants, la police municipale et la gendarmerie multiplient leurs rondes " souhaite préciser la Ville de Piriac” (Ouest France). Ah bon ? Et pourquoi donc ?
Le cas de Piriac-sur-Mer n’est pas isolé. On apprend aussi, par Valeurs actuelles, que "face à la vague de grand froid qui s’annonce dans les jours à venir, et en particulier à partir de ce lundi 8 février, la préfecture du Nord a décidé de prendre des mesures", à savoir « l’ouverture de 170 places “supplémentaires” rien que pour les exilés du camp de Grande-Synthe alors que 200 personnes y vivent ». Moi qui croyais que Calais, Grande-Synthe, tout ça, c’était de l’histoire ancienne… Voyez comme je suis bête !
Selon un communiqué de la préfecture, sur ces 170 personnes, "78 ont déjà accepté". Parce qu’il y en a qui refusent, en plus ? L’explication tient peut-être dans cette phrase sibylline : "Il ne s’agit pas d’une solution à long terme ni “durable” et que les migrants devraient plutôt faire une demande d’asile."
Les associations ne sont pas satisfaites non plus, comme Salam (sic), qui déplore que les places d’hébergement proposées aux migrants clandestins "ne correspondent pas à leurs besoins". » (Delarue, Bd Voltaire)
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Re: Alerte dissémination
Paris : près de 800 migrants évacués et envoyés aux quatre coins de la France (Bd Voltaire)
« Ce vendredi 16 décembre au petit matin, les forces de l’ordre ont mené une opération d’évacuation, boulevard de la Chapelle (Paris XVIIIe), selon des informations de Valeurs actuelles. Si une soixantaine de personnes, des familles dans leur grande majorité, ont été confiées à des associations avant le début des opérations policières, les hommes majeurs ont, quant à eux, été envoyés aux quatre coins de la France. Au total, 771 migrants sont concernés.
Ces migrants, majoritairement de nationalité afghane, ont d’abord été répartis en Île-de-France. Paris en a ainsi accueilli 145. Les autres ont été répartis, grâce à des bus, dans le Sud-Ouest (Tarbes, Toulouse, Limoges…), en Bretagne (Rennes), en Vendée mais aussi à Lyon, Marseille, Clermont-Ferrand ou Nice. »
« Ce vendredi 16 décembre au petit matin, les forces de l’ordre ont mené une opération d’évacuation, boulevard de la Chapelle (Paris XVIIIe), selon des informations de Valeurs actuelles. Si une soixantaine de personnes, des familles dans leur grande majorité, ont été confiées à des associations avant le début des opérations policières, les hommes majeurs ont, quant à eux, été envoyés aux quatre coins de la France. Au total, 771 migrants sont concernés.
Ces migrants, majoritairement de nationalité afghane, ont d’abord été répartis en Île-de-France. Paris en a ainsi accueilli 145. Les autres ont été répartis, grâce à des bus, dans le Sud-Ouest (Tarbes, Toulouse, Limoges…), en Bretagne (Rennes), en Vendée mais aussi à Lyon, Marseille, Clermont-Ferrand ou Nice. »
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Re: Alerte dissémination
[Exclu BV] Viltaïs se prépare à installer des migrants dans le Berry (Bd Voltaire)
« Après la Bretagne et la Corrèze, c’est dans le Berry que Viltaïs, association à la tête d’un réseau d’hébergements pour migrants, prévoit d’ouvrir très prochainement un centre d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA). Une nouvelle fois, les riverains ne semblent pas avoir été consultés…
Une population tenue à l’écart
"Nous avons le sentiment d’avoir été trahis par notre maire." À Bélâbre (Indre), dix jours après le dernier conseil municipal, la colère ne retombe pas. Sans les avertir, le maire a décidé de vendre l’ancienne chemiserie à l’association bourbonnaise pour en faire un centre pour demandeurs d’asile. Adoptée lors du dernier conseil municipal (13 voix pour, 2 contre), la vente doit être ratifiée par le maire, d’ici le 28 février prochain, pour la modique somme de 40.000 euros. Une fois réhabilitée, cette ancienne friche industrielle pourra accueillir au maximum 38 migrants.
Comme à Corlay (Côtes d’Armor), les habitants du village ont été tenus à l’écart. "Jusqu’au vote, nous avons eu aucune information de la part de la mairie", s’insurge une Bélâbraise auprès de BV. "Tout se fait en catimini", dénonce un de ses voisins. Aucune communication ne semble avoir été faite par la municipalité en amont. Seule une publication sur les réseaux sociaux de Viltaïs annonçait des offres d’emploi pour s’occuper du prochain CADA Solïs dans l’Indre. Une annonce passée inaperçue à Bélâbre… Ce n’est donc qu’avec la publication des délibérations du conseil municipal que la population locale a pu prendre connaissance du projet. « Quand nous avons découvert le vote, il y a eu une levée de boucliers dans le village », nous explique une riveraine. Pour beaucoup, l’incompréhension domine. D’autant plus que le projet semble couver depuis plusieurs mois. "Bélâbre est une commune rurale, où il n’y absolument aucun boulot…"», réagit Jean-Michel Perroux, candidat Reconquête aux élections législatives, qui s’interroge encore sur la volonté de répartir les migrants à la campagne. Contactée à plusieurs reprises, la mairie n’a pas donné suite à nos sollicitations.
Un collectif et déjà une manifestation
En quelques jours, les habitants opposés à l’ouverture du CADA se sont constitués en collectif. Sous la bannière « Non au CADA à Bélâbre », ils sont aujourd’hui une vingtaine à dénoncer les méthodes de la municipalité et l’arrivée prochaine de demandeurs d’asile. « Nous sommes des gens simples, très éloignés de ces problèmes. La plupart d’entre nous étions incapables d’expliquer ce qu’était un CADA il y a encore une semaine », détaille l’un des membres de ce collectif. Ce samedi 25 février, ils prévoient de manifester dans leur village. De son côté, Reconquête se réserve le droit d’interpeller l’édile et d’organiser une consultation publique.
"Nous sommes en contact avec Callac, la mère de toutes les batailles", se réjouit une habitante de Bélâbre qui espère, comme dans les Côtes-d’Armor, voir le projet d’accueil de migrants reculer. Aux côtés de Saint-Brevin, Corlay et Beyssenac, les habitants des communes rurales visées par l’implantation d’un centre de migrants réfléchissent à se réunir dans une coordination nationale – qu’ils nommeront peut-être "Partout Callac" - pour faire entendre leur voix et espérer mettre un terme à la répartition de migrants en zone rurale. "Si on ne fait rien, ça va continuer dans d’autres villages", alerte une Bélâbraise. Déjà, dans l’Indre, Viltaïs annonce sur son site ouvrir également une antenne de son CADA berrichon à Argenton-sur-Creuse. »
« Après la Bretagne et la Corrèze, c’est dans le Berry que Viltaïs, association à la tête d’un réseau d’hébergements pour migrants, prévoit d’ouvrir très prochainement un centre d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA). Une nouvelle fois, les riverains ne semblent pas avoir été consultés…
Une population tenue à l’écart
"Nous avons le sentiment d’avoir été trahis par notre maire." À Bélâbre (Indre), dix jours après le dernier conseil municipal, la colère ne retombe pas. Sans les avertir, le maire a décidé de vendre l’ancienne chemiserie à l’association bourbonnaise pour en faire un centre pour demandeurs d’asile. Adoptée lors du dernier conseil municipal (13 voix pour, 2 contre), la vente doit être ratifiée par le maire, d’ici le 28 février prochain, pour la modique somme de 40.000 euros. Une fois réhabilitée, cette ancienne friche industrielle pourra accueillir au maximum 38 migrants.
Comme à Corlay (Côtes d’Armor), les habitants du village ont été tenus à l’écart. "Jusqu’au vote, nous avons eu aucune information de la part de la mairie", s’insurge une Bélâbraise auprès de BV. "Tout se fait en catimini", dénonce un de ses voisins. Aucune communication ne semble avoir été faite par la municipalité en amont. Seule une publication sur les réseaux sociaux de Viltaïs annonçait des offres d’emploi pour s’occuper du prochain CADA Solïs dans l’Indre. Une annonce passée inaperçue à Bélâbre… Ce n’est donc qu’avec la publication des délibérations du conseil municipal que la population locale a pu prendre connaissance du projet. « Quand nous avons découvert le vote, il y a eu une levée de boucliers dans le village », nous explique une riveraine. Pour beaucoup, l’incompréhension domine. D’autant plus que le projet semble couver depuis plusieurs mois. "Bélâbre est une commune rurale, où il n’y absolument aucun boulot…"», réagit Jean-Michel Perroux, candidat Reconquête aux élections législatives, qui s’interroge encore sur la volonté de répartir les migrants à la campagne. Contactée à plusieurs reprises, la mairie n’a pas donné suite à nos sollicitations.
Un collectif et déjà une manifestation
En quelques jours, les habitants opposés à l’ouverture du CADA se sont constitués en collectif. Sous la bannière « Non au CADA à Bélâbre », ils sont aujourd’hui une vingtaine à dénoncer les méthodes de la municipalité et l’arrivée prochaine de demandeurs d’asile. « Nous sommes des gens simples, très éloignés de ces problèmes. La plupart d’entre nous étions incapables d’expliquer ce qu’était un CADA il y a encore une semaine », détaille l’un des membres de ce collectif. Ce samedi 25 février, ils prévoient de manifester dans leur village. De son côté, Reconquête se réserve le droit d’interpeller l’édile et d’organiser une consultation publique.
"Nous sommes en contact avec Callac, la mère de toutes les batailles", se réjouit une habitante de Bélâbre qui espère, comme dans les Côtes-d’Armor, voir le projet d’accueil de migrants reculer. Aux côtés de Saint-Brevin, Corlay et Beyssenac, les habitants des communes rurales visées par l’implantation d’un centre de migrants réfléchissent à se réunir dans une coordination nationale – qu’ils nommeront peut-être "Partout Callac" - pour faire entendre leur voix et espérer mettre un terme à la répartition de migrants en zone rurale. "Si on ne fait rien, ça va continuer dans d’autres villages", alerte une Bélâbraise. Déjà, dans l’Indre, Viltaïs annonce sur son site ouvrir également une antenne de son CADA berrichon à Argenton-sur-Creuse. »
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Re: Alerte dissémination
Des « migrants » sont cachés dans des parkings parisiens (Lettre Patriote)
« Environ 70 migrants vivent dans un parking à deux pas de l’Arc de Triomphe, comme l’Ivoirienne Ange, enceinte de huit mois, arrivée en France en décembre.
Elle dort cachée dans un parking parisien, transformé en campement.
“Etre hébergée, c’est mon plus grand souhait. Mais quand j’appelle le 115 (le numéro d’urgence dédié aux sans-abri, Ndlr), on me dit que c’est plein.” La veille encore, pour sa grossesse, elle s’est rendue à l’hôpital parisien de la Pitié Salpêtrière. “Mais le médecin ne peut rien faire. Tout ce que je souhaite c’est que ma fille ne dorme pas dehors“, flanche-t-elle, assise dans sa tente.
L’association estime à “des milliers” le nombre d’exilés cachés dans des squats ou des lieux comme ce parking, depuis les démantèlements des campements dans le nord-est parisien, synchrone de la volonté des autorités de ne plus laisser s’installer d’autres “points de fixation“, depuis 2020.
Une volonté de “disperser“ qui s’accompagne d’une autre “réalité“, abonde Pascal Brice, le patron de la Fédération des acteurs de la solidarité (FAS), qui regroupe les principales organisations d’aide aux sans-abri: “On a des hôtels qui mettent fin à leur conventionnement d’hébergement d’urgence et qui remettent des personnes à la rue afin d’accueillir les visiteurs pour les Jeux olympiques“.
“Construire un meilleur accueil passe par une meilleure répartition sur le territoire“, défend le directeur de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii) Didier Leschi, assurant que “75% des demandeurs d’asile sont mis à l’abri”, dont 1.800 personnes “orientées en région chaque mois”. »
« Environ 70 migrants vivent dans un parking à deux pas de l’Arc de Triomphe, comme l’Ivoirienne Ange, enceinte de huit mois, arrivée en France en décembre.
Elle dort cachée dans un parking parisien, transformé en campement.
“Etre hébergée, c’est mon plus grand souhait. Mais quand j’appelle le 115 (le numéro d’urgence dédié aux sans-abri, Ndlr), on me dit que c’est plein.” La veille encore, pour sa grossesse, elle s’est rendue à l’hôpital parisien de la Pitié Salpêtrière. “Mais le médecin ne peut rien faire. Tout ce que je souhaite c’est que ma fille ne dorme pas dehors“, flanche-t-elle, assise dans sa tente.
L’association estime à “des milliers” le nombre d’exilés cachés dans des squats ou des lieux comme ce parking, depuis les démantèlements des campements dans le nord-est parisien, synchrone de la volonté des autorités de ne plus laisser s’installer d’autres “points de fixation“, depuis 2020.
Une volonté de “disperser“ qui s’accompagne d’une autre “réalité“, abonde Pascal Brice, le patron de la Fédération des acteurs de la solidarité (FAS), qui regroupe les principales organisations d’aide aux sans-abri: “On a des hôtels qui mettent fin à leur conventionnement d’hébergement d’urgence et qui remettent des personnes à la rue afin d’accueillir les visiteurs pour les Jeux olympiques“.
“Construire un meilleur accueil passe par une meilleure répartition sur le territoire“, défend le directeur de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii) Didier Leschi, assurant que “75% des demandeurs d’asile sont mis à l’abri”, dont 1.800 personnes “orientées en région chaque mois”. »
- Didier Bourjon
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Re: Alerte dissémination
...ou Les Kollabos & Kapos.
Répartition des migrants dans « nos territoires » : on peut faire mieux… (Bd Voltaire)
« eux députés de la majorité, Stella Dupont, ancienne socialiste et élue dans le Maine-et-Loire, et Mathieu Lefèvre, élu dans le Val-de-Marne, se sont penchés sur l'accueil des hôtes de la France. Si le projet, qui consiste à répartir l'afflux de ces "réfugiés" dans les régions françaises, est jugé structurellement bon, on peut faire mieux. Selon eux, en effet, la répartition des migrants « en région », ou « dans les territoires », c'est-à-dire en province, connaît des « fragilités ». C'est-à-dire ?
La première de ces fragilités concerne évidemment les élus. Ils souffrent de leur générosité. Leurs concitoyens les malmènent, parce qu'ils n'ont rien compris, évidemment. On n'a sans doute pas fini d'entendre parler de l'incendie de la maison du maire de Saint-Brevin-les-Pins, qui a ici valeur de témoignage, de symbole, presque. Là, au passage, ce n'est pas comme pour l'affaire Lola : on peut « instrumentaliser » tant qu'on veut. On est dans le camp du bien. Ça reste en famille. Un centre d'analyse a été mis en place pour les « violences faites aux élus ». On ne parle pas de numéro vert mais on se doute que le projet n'est pas loin.
Deuxième fragilité : nos nouveaux voisins n'ont pas envie d'aller à la découverte de nos jolies provinces. Le charme de la campagne les laisserait indifférents. Pas beaucoup de volontaires pour reprendre une épicerie ou retaper un château. Ils ne sont pas venus pour ça. Ils ne sont pas non plus venus pour s'assimiler ni même pour s'intégrer. Pourquoi sont-ils venus au juste, d'ailleurs ? On ne sait plus vraiment. »
Sans-abri à Bruz : les villes de province n’ont pas fini d’accueillir du monde (Bd Voltaire)
« Après les projets de centres d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA) dont Saint-Brévin-les-Pins, Callac ou encore Corlay font déjà les frais, voici donc leur complément avec les "sas d’accueil temporaires régionaux", qui ne devraient pas tarder à concerner d’autres villes. Si les termes diffèrent, la réalité n’est pas si différente : les Français n’ont pas fini de trinquer au profit de ces nouveaux venus. »
***
Démocrature devient un terme tout à fait insuffisant.
Répartition des migrants dans « nos territoires » : on peut faire mieux… (Bd Voltaire)
« eux députés de la majorité, Stella Dupont, ancienne socialiste et élue dans le Maine-et-Loire, et Mathieu Lefèvre, élu dans le Val-de-Marne, se sont penchés sur l'accueil des hôtes de la France. Si le projet, qui consiste à répartir l'afflux de ces "réfugiés" dans les régions françaises, est jugé structurellement bon, on peut faire mieux. Selon eux, en effet, la répartition des migrants « en région », ou « dans les territoires », c'est-à-dire en province, connaît des « fragilités ». C'est-à-dire ?
La première de ces fragilités concerne évidemment les élus. Ils souffrent de leur générosité. Leurs concitoyens les malmènent, parce qu'ils n'ont rien compris, évidemment. On n'a sans doute pas fini d'entendre parler de l'incendie de la maison du maire de Saint-Brevin-les-Pins, qui a ici valeur de témoignage, de symbole, presque. Là, au passage, ce n'est pas comme pour l'affaire Lola : on peut « instrumentaliser » tant qu'on veut. On est dans le camp du bien. Ça reste en famille. Un centre d'analyse a été mis en place pour les « violences faites aux élus ». On ne parle pas de numéro vert mais on se doute que le projet n'est pas loin.
Deuxième fragilité : nos nouveaux voisins n'ont pas envie d'aller à la découverte de nos jolies provinces. Le charme de la campagne les laisserait indifférents. Pas beaucoup de volontaires pour reprendre une épicerie ou retaper un château. Ils ne sont pas venus pour ça. Ils ne sont pas non plus venus pour s'assimiler ni même pour s'intégrer. Pourquoi sont-ils venus au juste, d'ailleurs ? On ne sait plus vraiment. »
Sans-abri à Bruz : les villes de province n’ont pas fini d’accueillir du monde (Bd Voltaire)
« Après les projets de centres d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA) dont Saint-Brévin-les-Pins, Callac ou encore Corlay font déjà les frais, voici donc leur complément avec les "sas d’accueil temporaires régionaux", qui ne devraient pas tarder à concerner d’autres villes. Si les termes diffèrent, la réalité n’est pas si différente : les Français n’ont pas fini de trinquer au profit de ces nouveaux venus. »
***
Démocrature devient un terme tout à fait insuffisant.
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Re: Alerte dissémination
Les sans-abri attendus à Bruz débarquent à Montgermont (Bd Voltaire)
« L'élue est claire : cette solution est dite « temporaire », mais la réalité est tout autre. "Il faut que les Bretons le sachent : ces migrants ne s’en iront sûrement pas. Il y a 100.000 "sans-abri" à évacuer de la capitale, et Paris ne les récupérera pas. La Bretagne doit se préparer à les accueillir à très long terme."
(...)
Nouvelle victime d'une politique migratoire débridée, la commune de Montgermont entre dans la litanie, toujours plus longue, de ces villages à qui l’État impose les dégâts collatéraux de décisions qu’il prend seul, contre l’avis de Français toujours plus nombreux. Pour Astrid Prunier, "les communes n’ont pas le budget, le travail ou encore les structures nécessaires pour accueillir ces nouveaux arrivants. Même les maires de gauche se lèvent contre ces injonctions étatiques."
Conséquence probable de ces arrivées intempestives : "On va certainement assister à un réveil crescendo chez les Bretons, au fur et à mesure du nombre de cars qui amèneront des migrants dans la région", soulève la conseillère régionale.»
« L'élue est claire : cette solution est dite « temporaire », mais la réalité est tout autre. "Il faut que les Bretons le sachent : ces migrants ne s’en iront sûrement pas. Il y a 100.000 "sans-abri" à évacuer de la capitale, et Paris ne les récupérera pas. La Bretagne doit se préparer à les accueillir à très long terme."
(...)
Nouvelle victime d'une politique migratoire débridée, la commune de Montgermont entre dans la litanie, toujours plus longue, de ces villages à qui l’État impose les dégâts collatéraux de décisions qu’il prend seul, contre l’avis de Français toujours plus nombreux. Pour Astrid Prunier, "les communes n’ont pas le budget, le travail ou encore les structures nécessaires pour accueillir ces nouveaux arrivants. Même les maires de gauche se lèvent contre ces injonctions étatiques."
Conséquence probable de ces arrivées intempestives : "On va certainement assister à un réveil crescendo chez les Bretons, au fur et à mesure du nombre de cars qui amèneront des migrants dans la région", soulève la conseillère régionale.»
- Didier Bourjon
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Re: Alerte dissémination
1600 migrants clandestins SDF ont été déplacés de Paris vers la province afin de faire place nette pour les JO 2024 (par Lettre Patriote)
« L’opération – discrète – a en fait commencé il y a 6 mois.
Or, une grande partie de ces clandestins, évidemment, disparaît dans la nature !
Par exemple, 40% des clandestins déplacés à Bordeaux ont disparu. On estime qu’au niveau national, c’est 20% qui prennent la poudre d’escampette. Or, selon la préfecture et les associations, ces « disparus volontaires » retournent très certainement à Paris où ils ont des connaissances et des opportunités de travail au noir, ainsi que l’indiquent nos confrères de France TV.
L’autre problème c’est que plus de la moitié de ces clandestins, une fois répartis en province, se retrouvent dans des centres d’hébergement d’urgence, dans des villes déjà saturées.
Harmonie Lecerf-Meunier, adjointe à la mairie de Bordeaux, en charge des solidarités, a été interrogée par France TV : “À Bordeaux, on est saturés, sur-saturés… Des associations ont fait une étude avec huissier : pendant plusieurs jours, plusieurs semaines, ils ont suivi avec un huissier des maraudes. À chaque appel du 115, ils avaient 100% de réponse : ‘Nous n’avons pas de places’. On a des familles à la rue, on a des enfants à la rue, on a des bidonvilles, des squats. De toute façon, à Bordeaux, on ne peut pas accueillir plus de personnes.”
Toutes les villes concernées demandent au gouvernement de créer des places d’hébergement d’urgence, au risque de déplacer un problème de Paris vers les autres villes françaises… »
« L’opération – discrète – a en fait commencé il y a 6 mois.
Or, une grande partie de ces clandestins, évidemment, disparaît dans la nature !
Par exemple, 40% des clandestins déplacés à Bordeaux ont disparu. On estime qu’au niveau national, c’est 20% qui prennent la poudre d’escampette. Or, selon la préfecture et les associations, ces « disparus volontaires » retournent très certainement à Paris où ils ont des connaissances et des opportunités de travail au noir, ainsi que l’indiquent nos confrères de France TV.
L’autre problème c’est que plus de la moitié de ces clandestins, une fois répartis en province, se retrouvent dans des centres d’hébergement d’urgence, dans des villes déjà saturées.
Harmonie Lecerf-Meunier, adjointe à la mairie de Bordeaux, en charge des solidarités, a été interrogée par France TV : “À Bordeaux, on est saturés, sur-saturés… Des associations ont fait une étude avec huissier : pendant plusieurs jours, plusieurs semaines, ils ont suivi avec un huissier des maraudes. À chaque appel du 115, ils avaient 100% de réponse : ‘Nous n’avons pas de places’. On a des familles à la rue, on a des enfants à la rue, on a des bidonvilles, des squats. De toute façon, à Bordeaux, on ne peut pas accueillir plus de personnes.”
Toutes les villes concernées demandent au gouvernement de créer des places d’hébergement d’urgence, au risque de déplacer un problème de Paris vers les autres villes françaises… »