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Confirmation, suite à fuite en provenance la Police, certains y étant ulcérés de voir la "presse" laisser entendre qu'il s'agissait de punk à chiens...




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Mila a reçu 30.000 menaces de mort pour avoir critiqué l’islam, confie son avocat : « “30 000 menaces de mort. Ce n’est pas je vais te tuer mais je vais t’égorger, je vais te sortir tes tripes, te les faire manger et te violer (…) Quand on atteint ce niveau-là, ce n’est pas la police qui peut régler la chose”, affirme Richard Malka. »

On les a (les noms), et c'est, sans l'ombre d'une surprise :

« Le Figaro relate que le soir du 19 mai dernier, une agression d’une extrême violence s’est déroulée au cœur de Brest (Finistère).

Des “jeunes” se sont déchaînés à coups de barre de fer contre Nicolas, un père âgé de 35 ans. Son tort ? Avoir osé demander le silence alors que ces hommes se disputaient bruyamment en bas de son immeuble.

La victime a tout de suite été admise à l’hôpital dans un état critique et placée en coma artificiel. Le soir du drame, un voisin a assisté à ce qu’il décrit comme «un acte de barbarie», derrière la porte de son appartement de la cité Kérangoff, rue Franchet d’Esperey.

Après environ trois semaines de coma, Nicolas s’est réveillé avec de nombreuses séquelles. Il a dû subir plusieurs interventions de chirurgie reconstructrice faciale. “Son nez et sa mâchoire ont été enfoncés dans la boîte crânienne. Le médecin nous a parlé d’une potentielle opération des yeux”, indique une amie.

Mais surtout, Nicolas a subi de graves lésions cérébrales dont on ne connaît pas encore les conséquences, si ce n’est qu’elles feront de lui une personne handicapée à vie.

Comme dirait Macron… une “incivilité”… » (par Lettre Patriote)


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Lors de son audition par la mission d’information relative aux moyens d’action et aux méthodes d’intervention de la police et de la gendarmerie, le directeur général de la gendarmerie nationale :

« Depuis 2010, le nombre d’agressions physiques sur les gendarmes a augmenté de 76%. Les agressions avec armes ont été multipliées par deux, et le volume des gendarmes blessés a augmenté de 63%. En 2019, 2300 gendarmes ont été blessés du fait d’une agression, ce qui constitue une augmentation de 72% par rapport à 2012. Et depuis 2012, on compte 8 gendarmes tués par agression. »

Une femme frappée dans son quartier lance un appel désespéré.

Vidéo ici.


Contrepoint : « Il n’y a plus que les honnêtes gens qui craignent la justice »

Me Philippe Hervieu, avocat : « On est dans une situation où il n’y a plus que les honnêtes gens qui craignent la justice. Les Français ne croient plus en la justice. La première des choses à faire est de revoir complètement les sanctions, de supprimer des dispositions trop favorables à des gens qui ont été condamnés. Si les Français avaient l’impression en matière pénale que les infractions sont sanctionnées, ils se réconcilieraient largement avec la justice »

Est-ce bien sensé, au point où nous en sommes ? Ce brave home a, comme les autres, quelques décennies de retard. En vérité : la Justice, comme les mal nommées "forces de l'ordre", se rattrape sans merci sur les seuls autochtones qu'elle peut coincer. Comme le dernier des salopards.

"Une plainte est envisagée".

Une occurrence parmi tant d'autres, quotidiennes :

Bordeaux, une ville plombée par la délinquance (Valeurs Actuelles)

Je le confesse : je ne peux pas plaindre les Bordelais, pas plus que les Lyonnais, Rennais, Grenoblois, Parisiens, etc. Je leur prédis même que ce n'est qu'un début, et qu'ils boiront le calice jusqu'à la lie, et je m'en félicite. Nous n'en reparlerons que le jour où ils seront radicalement déniaisés et collectivement rétablis dans leur dignité.

J'approuve totalement mais je doute que ce type d'hommes puisse être un jour déniaisés et rétablis dans leur dignité. Leurs choix politiques procèdent non d'un manque de lucidité mais d'un effondrement de cette vertu qui fait que depuis la nuit des temps un homme est un homme.