Vivre Ensemble
- Didier Bourjon
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Re: Vivre Ensemble
On vous évite la vidéo.
Une présentatrice de France 3 dénonce son quotidien dans les transports en commun (par Lettre Patriote)
« Juliette Vincent-Seignet est journaliste à France Télévisions. Elle raconte :
Ce matin, dans le TER Paris->Rouen, la voiture est quasi vide. Un homme s’assied à côté de moi et colle sa cuisse à la mienne. Je lui demande de changer de place. 2min plus tard, il se masturbe tout en me regardant.
Merci au chef de bord pour sa réactivité. Il a relevé son identité et va déposer un rapport. Le temps que je change de place, l’homme s’était déplacé pour se masturber à côté d’une autre jeune femme. Je suis sidérée. »
***
Belgique
Une présentatrice de France 3 dénonce son quotidien dans les transports en commun (par Lettre Patriote)
« Juliette Vincent-Seignet est journaliste à France Télévisions. Elle raconte :
Ce matin, dans le TER Paris->Rouen, la voiture est quasi vide. Un homme s’assied à côté de moi et colle sa cuisse à la mienne. Je lui demande de changer de place. 2min plus tard, il se masturbe tout en me regardant.
Merci au chef de bord pour sa réactivité. Il a relevé son identité et va déposer un rapport. Le temps que je change de place, l’homme s’était déplacé pour se masturber à côté d’une autre jeune femme. Je suis sidérée. »
***
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- Didier Bourjon
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Re: Vivre Ensemble
Je dois dire que le jugement de Rieu me semble presque excessif, tant la chose est désormais banale, en tout cas inférieure en horreur à ce que l'on peut voir par ailleurs.
Ce n'est plus de l'ensauvagement, ni même de la "barbarie", c'est de la sauvagerie pure.
- Didier Bourjon
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Re: Vivre Ensemble
« On est à bout, ça va péter » (Figaro par Lettre Patriote)
« Dans le quartier Saint-Paul de Bordeaux, nos confrères du Figaro sont allés à la rencontre des riverains qui sont au bord de l’explosion. En fait, une association de soins y attire les drogués, générant insécurité et saleté permanentes.
Sa directrice Véronique Latour affirme sans fausse pudeur : « Nous doublons chaque année nos distributions de pipes à crack ».
Une restauratrice du quartier s’offusque : « J’éduque mes enfants dans le respect des valeurs, du travail, de la responsabilité. Je n’ai pas envie que mes impôts servent à payer cela !« . « Ça va péter, on vit avec une pression hallucinante et dans la saleté. Quand des groupes de toxicos se massent (…), que vous voulez passer avec votre poussette, vous faites comment ? », fustige en colère une autre passante, qui décrit des « hommes et femmes chiant et pissant partout »… preuves photographiques à l’appui.
Charlotte, Bordelaise d’origine, emmène les journalistes du Figaro dans la petite rue Saint-Éloi, où les drogués consomment. Ils y jettent partout seringues, déchets (y compris dans son jardin, derrière l’église), s’engueulent, urinent ou défèquent sur les pas-de-porte. Quand elle et son compagnon partent prendre leur voiture au parking Victor-Hugo, rebelote : « À chaque fois c’est un risque, quand il faut les croiser ou les enjamber pour accéder à un escalier ou un ascenseur ». Les sombres anecdotes s’enchaînent, le regard se perd dans le vide… Puis elle fond franchement en larmes : "Mais franchement, qu’est-ce qu’on a fait ? Comment on peut nous laisser vivre ça ? Dites-leur que ce n’est plus possible ! On est à bout !" »
***
"Ca va péter" ? Quand on a accepté les choses jusqu'à ce point, c'est qu'on est soumis au-delà de toute raison, et surtout de tout instinct de survie.
***
[Exclu BV ] Un homme d’origine tunisienne sort un Coran après avoir poignardé 6 personnes à Château-Thierry (Aisne) (Bd Voltaire)
"L'exclu" BV était sur les réseaux dits sociaux hier ; et nulle part ailleurs dans les médias officiels.
« Dans le quartier Saint-Paul de Bordeaux, nos confrères du Figaro sont allés à la rencontre des riverains qui sont au bord de l’explosion. En fait, une association de soins y attire les drogués, générant insécurité et saleté permanentes.
Sa directrice Véronique Latour affirme sans fausse pudeur : « Nous doublons chaque année nos distributions de pipes à crack ».
Une restauratrice du quartier s’offusque : « J’éduque mes enfants dans le respect des valeurs, du travail, de la responsabilité. Je n’ai pas envie que mes impôts servent à payer cela !« . « Ça va péter, on vit avec une pression hallucinante et dans la saleté. Quand des groupes de toxicos se massent (…), que vous voulez passer avec votre poussette, vous faites comment ? », fustige en colère une autre passante, qui décrit des « hommes et femmes chiant et pissant partout »… preuves photographiques à l’appui.
Charlotte, Bordelaise d’origine, emmène les journalistes du Figaro dans la petite rue Saint-Éloi, où les drogués consomment. Ils y jettent partout seringues, déchets (y compris dans son jardin, derrière l’église), s’engueulent, urinent ou défèquent sur les pas-de-porte. Quand elle et son compagnon partent prendre leur voiture au parking Victor-Hugo, rebelote : « À chaque fois c’est un risque, quand il faut les croiser ou les enjamber pour accéder à un escalier ou un ascenseur ». Les sombres anecdotes s’enchaînent, le regard se perd dans le vide… Puis elle fond franchement en larmes : "Mais franchement, qu’est-ce qu’on a fait ? Comment on peut nous laisser vivre ça ? Dites-leur que ce n’est plus possible ! On est à bout !" »
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"Ca va péter" ? Quand on a accepté les choses jusqu'à ce point, c'est qu'on est soumis au-delà de toute raison, et surtout de tout instinct de survie.
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[Exclu BV ] Un homme d’origine tunisienne sort un Coran après avoir poignardé 6 personnes à Château-Thierry (Aisne) (Bd Voltaire)
"L'exclu" BV était sur les réseaux dits sociaux hier ; et nulle part ailleurs dans les médias officiels.
- Didier Bourjon
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Re: Vivre Ensemble
Tentative de viol en plein Paris (par Lettre Patriote)
« La victime, convoquée, l’a reconnu derrière une vitre sans tain. « Aux enquêteurs, poursuit cette même source, l’agresseur a déclaré qu’il n’avait pas d’argent pour se payer une prostituée à Strasbourg-Saint-Denis et qu’il voulait se faire une belle blanche. »
Durant sa garde à vue, l’homme est passé aux aveux. “Il a admis qu’il voulait une relation sexuelle avec une femme de type européenne car il n’avait plus assez d’argent pour s’offrir une prostituée à Strasbourg-Saint-Denis, qu’il avait bu et qu’il cherchait une épouse en France pour obtenir des papiers”, confie la même source. “Cet homme a déjà fait l’objet d’examens de comportement par le passé, qui ont conclu à chaque fois qu’il ne souffrait d’aucune pathologie mentale”. Le quadragénaire était déjà connu des services de police, notamment pour des vols à l’étalage. »
***
Un enseignant menacé au lycée Scheurer-Kestner à Thann (68) : le nom de Samuel Paty aurait été lancé par l’agresseur (idem)
« "On reproche des faits d’apologie du terrorisme contre la mineure de 15 ans et de menaces à l’égard de l’oncle", a précisé ce samedi le procureure de la République de Mulhouse, Edwige Roux-Morizot. "L’homme conteste les faits et les propos qu’on voudrait lui imputer. Mais le professeur et les témoins sont formels sur ce qu’ils ont entendu. C’était clairement menaçant." »
« La victime, convoquée, l’a reconnu derrière une vitre sans tain. « Aux enquêteurs, poursuit cette même source, l’agresseur a déclaré qu’il n’avait pas d’argent pour se payer une prostituée à Strasbourg-Saint-Denis et qu’il voulait se faire une belle blanche. »
Durant sa garde à vue, l’homme est passé aux aveux. “Il a admis qu’il voulait une relation sexuelle avec une femme de type européenne car il n’avait plus assez d’argent pour s’offrir une prostituée à Strasbourg-Saint-Denis, qu’il avait bu et qu’il cherchait une épouse en France pour obtenir des papiers”, confie la même source. “Cet homme a déjà fait l’objet d’examens de comportement par le passé, qui ont conclu à chaque fois qu’il ne souffrait d’aucune pathologie mentale”. Le quadragénaire était déjà connu des services de police, notamment pour des vols à l’étalage. »
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Un enseignant menacé au lycée Scheurer-Kestner à Thann (68) : le nom de Samuel Paty aurait été lancé par l’agresseur (idem)
« "On reproche des faits d’apologie du terrorisme contre la mineure de 15 ans et de menaces à l’égard de l’oncle", a précisé ce samedi le procureure de la République de Mulhouse, Edwige Roux-Morizot. "L’homme conteste les faits et les propos qu’on voudrait lui imputer. Mais le professeur et les témoins sont formels sur ce qu’ils ont entendu. C’était clairement menaçant." »
- Didier Bourjon
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Re: Vivre Ensemble
"Racisme de volume" : s'agacer du bruit dans les transports en commun, est-ce raciste ? (Marianne)
« "Volume racism", c’est ainsi que l’appelle le militant antiraciste américano-palestinien Sbeih, suivi par près d’un million d’abonnés, tous réseaux confondus. Dans une vidéo largement reprise, le jeune homme y aborde les discriminations que subiraient les personnes « noires ou arabes » lorsqu’il leur arrive de parler fort et dans quelle mesure cela reposerait sur du racisme des personnes blanches qui les jugent. Sur TikTok et Instagram, les témoignages vécus qui corroborent cette thèse vont bon train. "Ce concept est génial et hyperpertinent, par exemple quand vous êtes dans un restaurant et qu’il y a des Blancs qui vont voir la table de personnes racisées pour leur dire qu’ils font trop de bruit", reprend par exemple la militante féministe intersectionnelle Zazem, créatrice d'une web-émission "antiraciste et postcoloniale".
Appelé aussi "discrimination de décibels" par le collectif NEOIFRI, ce concept brumeux peut être résumé par l’une des personnes qu’elle interroge justement sur le sujet. « On dérange, juste parce qu’on est là, qu’on est trop là » lui confie-t-il tristement. Le parallèle est inévitablement fait par les internautes avec la fameuse phrase prononcée lors d’un discours le 19 juin 1991 par le président Jacques Chirac, « le bruit et l’odeur » peu après une visite du quartier de la Goutte d’Or à Paris. »
« "Volume racism", c’est ainsi que l’appelle le militant antiraciste américano-palestinien Sbeih, suivi par près d’un million d’abonnés, tous réseaux confondus. Dans une vidéo largement reprise, le jeune homme y aborde les discriminations que subiraient les personnes « noires ou arabes » lorsqu’il leur arrive de parler fort et dans quelle mesure cela reposerait sur du racisme des personnes blanches qui les jugent. Sur TikTok et Instagram, les témoignages vécus qui corroborent cette thèse vont bon train. "Ce concept est génial et hyperpertinent, par exemple quand vous êtes dans un restaurant et qu’il y a des Blancs qui vont voir la table de personnes racisées pour leur dire qu’ils font trop de bruit", reprend par exemple la militante féministe intersectionnelle Zazem, créatrice d'une web-émission "antiraciste et postcoloniale".
Appelé aussi "discrimination de décibels" par le collectif NEOIFRI, ce concept brumeux peut être résumé par l’une des personnes qu’elle interroge justement sur le sujet. « On dérange, juste parce qu’on est là, qu’on est trop là » lui confie-t-il tristement. Le parallèle est inévitablement fait par les internautes avec la fameuse phrase prononcée lors d’un discours le 19 juin 1991 par le président Jacques Chirac, « le bruit et l’odeur » peu après une visite du quartier de la Goutte d’Or à Paris. »
- Alain Georges
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Re: Vivre Ensemble
La responsabilité de ceux qui, au mépris du droit international, ont permis à Mayotte de se détacher des Comores lors du referendum de de décembre 1974, Giscard Président, Chirac, Premier Ministre et Stirn, Secrétaire d’État aux DOM TOM, est écrasante. Ils ont créé un abcès au flanc de la France, plus purulent d'année en année, incurable, si ce n'est pas une opération chirurgicale que nul n'osera : rendre Mayotte aux Comores.
L’État déverse des milliards sur cette île, y construit à grands frais force bâtiments publics (et sur concours d'architecture!), y entretient d'heureux fonctionnaires détachés en doublant leur salaire (la prime !) (à ce prix on est discret, voire même complaisant pour ne pas dire servile), sans parler de tous les potentats locaux qui émargent d'une façon ou d'une autre. L'immigration clandestine s'amplifie continûment (de la côte de Mayotte on aperçoit Anjouan), l'insécurité explose.
Mayotte est l'illustration exemplaire des effets de l'action des politiques de ce pays, fondée sur la bêtise, l'incompétence, la lâcheté, la complaisance aux pires dérives idéologiques, et le mépris absolu des intérêts légitime du peuple français. Mayotte est bien notre avenir et dans bien des lieux déjà, notre présent.
L’État déverse des milliards sur cette île, y construit à grands frais force bâtiments publics (et sur concours d'architecture!), y entretient d'heureux fonctionnaires détachés en doublant leur salaire (la prime !) (à ce prix on est discret, voire même complaisant pour ne pas dire servile), sans parler de tous les potentats locaux qui émargent d'une façon ou d'une autre. L'immigration clandestine s'amplifie continûment (de la côte de Mayotte on aperçoit Anjouan), l'insécurité explose.
Mayotte est l'illustration exemplaire des effets de l'action des politiques de ce pays, fondée sur la bêtise, l'incompétence, la lâcheté, la complaisance aux pires dérives idéologiques, et le mépris absolu des intérêts légitime du peuple français. Mayotte est bien notre avenir et dans bien des lieux déjà, notre présent.