Education islamique
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- Didier Bourjon
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Education islamique
Sarcelles : rasé et frappé à l’école coranique à cause de sa coiffure (Le Parisien)
« Entendu par les policiers de Sarcelles, le jeune homme explique ne pas savoir combien de coups il a reçu. Cela a démarré par un petit coup de poing au torse puis tous les trois ont enchaîné les coups sur l’ensemble du corps. Il évoque des "écrasements de tête" et une balayette, se retrouve au sol à plusieurs reprises à cause des coups et de la douleur. Il a eu droit à quelques pauses, pour lui donner de l’eau, puis, un peu plus tard, pour aussi offrir un mouchoir, le jeune saignant du nez et de la bouche. Il y aura une troisième pause pour proposer "un grec". Cette scène aurait débuté vers 17h30 pour s’achever environ deux heures plus tard, le directeur soupçonné d’avoir donné les instructions faisant des allers-retours entre la pièce et l’extérieur. La jeune victime désigne aussi ses agresseurs. Outre le directeur de l’école, qui doit répondre de complicité de violences pour ces faits, il nomme trois animateurs de la ville de Sarcelles qui vont devoir répondre de violences aggravées.
Au cours de la procédure, le directeur a reconnu les faits, regrettant la violence, exprimant des remords. Il admet que sa réaction était "disproportionnée". La coiffure était pour lui "un premier pas dans la délinquance". Seul un des animateurs admet "des baffes" et assure être l’unique auteur de violences. L’un d’eux aurait donné 100 € à la mère pour qu’elle ne porte pas plainte et pour les frais découlant des violences. "Par générosité" assure-t-il. »
« Entendu par les policiers de Sarcelles, le jeune homme explique ne pas savoir combien de coups il a reçu. Cela a démarré par un petit coup de poing au torse puis tous les trois ont enchaîné les coups sur l’ensemble du corps. Il évoque des "écrasements de tête" et une balayette, se retrouve au sol à plusieurs reprises à cause des coups et de la douleur. Il a eu droit à quelques pauses, pour lui donner de l’eau, puis, un peu plus tard, pour aussi offrir un mouchoir, le jeune saignant du nez et de la bouche. Il y aura une troisième pause pour proposer "un grec". Cette scène aurait débuté vers 17h30 pour s’achever environ deux heures plus tard, le directeur soupçonné d’avoir donné les instructions faisant des allers-retours entre la pièce et l’extérieur. La jeune victime désigne aussi ses agresseurs. Outre le directeur de l’école, qui doit répondre de complicité de violences pour ces faits, il nomme trois animateurs de la ville de Sarcelles qui vont devoir répondre de violences aggravées.
Au cours de la procédure, le directeur a reconnu les faits, regrettant la violence, exprimant des remords. Il admet que sa réaction était "disproportionnée". La coiffure était pour lui "un premier pas dans la délinquance". Seul un des animateurs admet "des baffes" et assure être l’unique auteur de violences. L’un d’eux aurait donné 100 € à la mère pour qu’elle ne porte pas plainte et pour les frais découlant des violences. "Par générosité" assure-t-il. »
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Re: Education islamique
***

On a beau dire, il y a tout de même un sérieux problème de ce côté là...
- Didier Bourjon
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Re: Education islamique

Et toutes les autres...
La seule mosquée légitime sur le sol français est Grande Mosquée de Paris.
Point barre.
- Didier Bourjon
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Re: Education islamique
Elles ont changé, les jolies colonies de vacances en plein coeur du Morvan...
- Alain Georges
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Re: Education islamique
Une autre voix : https://amazigh24.yoo7.com/t210-topic
Nizâr Qabbâni est un célèbre poète syrien, né le 21 mars 1923 à Damas, et décédé le 30 avril 1998, à Londres.
"Non, nous ne sommes pas des Arabes. Assez de mensonge, de tromperie, de fraude, de faiblesse, d’impuissance et de peur.
Le Syrien n’est pas un Arabe, l’Irakien n’est pas Arabe, l'Égyptien n’est pas un Arabe, le Libanais n’est pas un Arabe, le Jordanien et le Palestinien non plus.
Nous sommes des Levantins, nous sommes des Byzantins, des syriaques, des Chaldéens, des Assyriens, des Coptes, nous sommes les descendants des Mésopotamiens, des Phéniciens, des Pharaons, nous sommes du Levant et de son peuple autochtone.
Nous ne sommes pas des Arabes.
Assez de viol, et de falsification de l’Histoire, de la géographie, de la vérité et de la réalité.
Les descendants de l’Arabie sont les Arabes – et pour rester fidèle à l’Histoire – nous disons qu’il y a des tribus arabes qui sont devenues chrétiennes mais l’arabité de la minorité ne saurait se généraliser à la majorité Levantine qui n’a jamais été Arabe.
Même si nous sommes arabophones, cela ne veut pas dire pour autant que nous sommes des Arabes.
L’Américain qui parle anglais n’est pas un anglais pour autant, le brésilien qui parle portugais n’est pas portugais pour autant, et l’Argentin qui parle espagnol n’est pas espagnol pour autant.
Ce sont des langues coloniales héritées d’un passé colonial.
Même si nous parlons arabe, nous ne sommes pas des Arabes et nous ne ressemblons en rien aux Arabes, ni dans la pensée, ni dans le goût, ni non plus dans la civilisation.
Eux, leur terre est le désert alors que la nôtre elle est celle du lait, du miel, de la figue, de l’amande, de la pomme et du raisin.
Nos ancêtres avaient cultivé la terre et s’y sont enracinés et ils y sont devenus « des Authentiques » quant à vous, vous êtes des nomades, vous ne semez point et vous n’y êtes jamais enracinés.
Nos ancêtres avaient planté la vigne, fabriqué du vin et cultivé la musique, ils ont fait la fête, ils ont dansé, ils ont construit des civilisations et ont écrit des livres, vos grands-parents ont bu du sang et ils le font toujours, ils ont dansé sur des cadavres de certains d’entre eux et ont abattu certains d’entre eux pour faire la fête et ils le font toujours.
Ils ont détruit les civilisations et brûlés des livres et ils le font toujours.
Que ce soit dans l’Histoire ancienne ou dans l’Histoire contemporaine, nous ne vous ressemblons point.
Notre passé est fait d’épopées, de science, et de gloire, quant à vous, votre passé est une trahison, votre présent est une trahison et votre avenir est une trahison.
Nous ne vous ressemblons en rien, ni par notre passé humain, ni par notre passé chrétien, ni par notre passé musulman.
Les musulmans de mon pays, sont des musulmans aimants de la science, de la vie, alors que vous avez élevé des peuples emplis de haine, de complexes, de maladies, qui adorent la mort.
Notre passé est une civilisation, une science, une littérature, une musique, une poésie, votre passé est fait de sang, d’invasions, de haine et de convoitises.
Celui qui est devenu musulman dans mon pays, après l’invasion arabe, a gardé sa noblesse sociale, ses traditions, et ses coutumes et même celui qui a vécu parmi nous est devenu l’un des nôtres du point de vue social, nous avons mangé ensemble, dansé ensemble, ri ensemble et pleuré ensemble, mais vous, vous ne changez jamais. 1400 ans et vous ne changez jamais et quand vous vous êtes rendu compte que vous n’arriverez pas à nous changer, vous avez détruit notre pays, notre patrimoine, notre coexistence et vous nous avez détruit.
Le musulman Levantin n’a plus foi en vous, vous le dégoûtez plus que vous l’êtes pour un chrétien Levantin.
Nous vous avons enseigné, construit vos villes, vos hôpitaux et vos universités et préservé votre langue.
Si seulement nous ne l’avons pas fait, si seulement nous vous avons laissé à la justice de Dieu et votre destin plus foncé que votre pétrole.
Nous étions un pont entre vous et l’Occident et vous êtes devenus un outil entre les mains de l’Occident pour détruire notre orientalité.
Nous vous avons connu à travers vos fruits, un passé barbare, fait d’humiliations et de fractures.
Rappelez-nous une seule victoire à vous ? Ou une seule gloire à vous ?
Vos victoires se réduisent à l’anéantissement de l’Autre, du frère à frère, du fils à son père pour le pouvoir, ou pour une femme, ou pour un chameau, ou encore pour un âne.
L’Occident vous a écrasé, celui-là même que vous taxez d’infidèle et vous lui léchez quand même les pieds pour qu’il préserve vos trônes, et voler ensuite les deniers des pauvres pour remplir ses ( l’Occident ) banques.
On en a assez et on ne couvrira plus jamais cette farce à partir d’aujourd’hui.
Ô vous bergers et messieurs les arabisants et les passionnés de l’arabisme, si vous souhaitez la parler et vous en targuez, parlez plutôt de votre lâcheté."
Nizâr Qabbâni est un célèbre poète syrien, né le 21 mars 1923 à Damas, et décédé le 30 avril 1998, à Londres.
"Non, nous ne sommes pas des Arabes. Assez de mensonge, de tromperie, de fraude, de faiblesse, d’impuissance et de peur.
Le Syrien n’est pas un Arabe, l’Irakien n’est pas Arabe, l'Égyptien n’est pas un Arabe, le Libanais n’est pas un Arabe, le Jordanien et le Palestinien non plus.
Nous sommes des Levantins, nous sommes des Byzantins, des syriaques, des Chaldéens, des Assyriens, des Coptes, nous sommes les descendants des Mésopotamiens, des Phéniciens, des Pharaons, nous sommes du Levant et de son peuple autochtone.
Nous ne sommes pas des Arabes.
Assez de viol, et de falsification de l’Histoire, de la géographie, de la vérité et de la réalité.
Les descendants de l’Arabie sont les Arabes – et pour rester fidèle à l’Histoire – nous disons qu’il y a des tribus arabes qui sont devenues chrétiennes mais l’arabité de la minorité ne saurait se généraliser à la majorité Levantine qui n’a jamais été Arabe.
Même si nous sommes arabophones, cela ne veut pas dire pour autant que nous sommes des Arabes.
L’Américain qui parle anglais n’est pas un anglais pour autant, le brésilien qui parle portugais n’est pas portugais pour autant, et l’Argentin qui parle espagnol n’est pas espagnol pour autant.
Ce sont des langues coloniales héritées d’un passé colonial.
Même si nous parlons arabe, nous ne sommes pas des Arabes et nous ne ressemblons en rien aux Arabes, ni dans la pensée, ni dans le goût, ni non plus dans la civilisation.
Eux, leur terre est le désert alors que la nôtre elle est celle du lait, du miel, de la figue, de l’amande, de la pomme et du raisin.
Nos ancêtres avaient cultivé la terre et s’y sont enracinés et ils y sont devenus « des Authentiques » quant à vous, vous êtes des nomades, vous ne semez point et vous n’y êtes jamais enracinés.
Nos ancêtres avaient planté la vigne, fabriqué du vin et cultivé la musique, ils ont fait la fête, ils ont dansé, ils ont construit des civilisations et ont écrit des livres, vos grands-parents ont bu du sang et ils le font toujours, ils ont dansé sur des cadavres de certains d’entre eux et ont abattu certains d’entre eux pour faire la fête et ils le font toujours.
Ils ont détruit les civilisations et brûlés des livres et ils le font toujours.
Que ce soit dans l’Histoire ancienne ou dans l’Histoire contemporaine, nous ne vous ressemblons point.
Notre passé est fait d’épopées, de science, et de gloire, quant à vous, votre passé est une trahison, votre présent est une trahison et votre avenir est une trahison.
Nous ne vous ressemblons en rien, ni par notre passé humain, ni par notre passé chrétien, ni par notre passé musulman.
Les musulmans de mon pays, sont des musulmans aimants de la science, de la vie, alors que vous avez élevé des peuples emplis de haine, de complexes, de maladies, qui adorent la mort.
Notre passé est une civilisation, une science, une littérature, une musique, une poésie, votre passé est fait de sang, d’invasions, de haine et de convoitises.
Celui qui est devenu musulman dans mon pays, après l’invasion arabe, a gardé sa noblesse sociale, ses traditions, et ses coutumes et même celui qui a vécu parmi nous est devenu l’un des nôtres du point de vue social, nous avons mangé ensemble, dansé ensemble, ri ensemble et pleuré ensemble, mais vous, vous ne changez jamais. 1400 ans et vous ne changez jamais et quand vous vous êtes rendu compte que vous n’arriverez pas à nous changer, vous avez détruit notre pays, notre patrimoine, notre coexistence et vous nous avez détruit.
Le musulman Levantin n’a plus foi en vous, vous le dégoûtez plus que vous l’êtes pour un chrétien Levantin.
Nous vous avons enseigné, construit vos villes, vos hôpitaux et vos universités et préservé votre langue.
Si seulement nous ne l’avons pas fait, si seulement nous vous avons laissé à la justice de Dieu et votre destin plus foncé que votre pétrole.
Nous étions un pont entre vous et l’Occident et vous êtes devenus un outil entre les mains de l’Occident pour détruire notre orientalité.
Nous vous avons connu à travers vos fruits, un passé barbare, fait d’humiliations et de fractures.
Rappelez-nous une seule victoire à vous ? Ou une seule gloire à vous ?
Vos victoires se réduisent à l’anéantissement de l’Autre, du frère à frère, du fils à son père pour le pouvoir, ou pour une femme, ou pour un chameau, ou encore pour un âne.
L’Occident vous a écrasé, celui-là même que vous taxez d’infidèle et vous lui léchez quand même les pieds pour qu’il préserve vos trônes, et voler ensuite les deniers des pauvres pour remplir ses ( l’Occident ) banques.
On en a assez et on ne couvrira plus jamais cette farce à partir d’aujourd’hui.
Ô vous bergers et messieurs les arabisants et les passionnés de l’arabisme, si vous souhaitez la parler et vous en targuez, parlez plutôt de votre lâcheté."
- Didier Bourjon
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Re: Education islamique
“En Afrique du nord, l’espace public est masculin. Il y a là une différence anthropologique”
Le pédopsychiatre et psychanalyste Maurice Berger analyse l’origine de la montée des violences en France (Le Figaro).
« Une autre remarque est que pour les personnes originaires de nombreuses régions du monde, l’espace est genré comme l’indique la sociologue Nassima Driss. Par exemple, à propos de la mort dramatique d’Axelle Dorier à Lyon dont la justice précisera les circonstances exactes, concernant l’auteur on peut proposer une hypothèse qui ne sera probablement pas explorée lors du procès : le conducteur d’origine maghrébine est confronté à une jeune femme, d’origine européenne de surcroît, qui se met en travers de la route pour le faire s’arrêter, c’est-à-dire se «soumettre». Dans la culture d’Afrique du Nord, l’espace public est masculin alors que la place de la femme se situe au sein du foyer. Il y a là une différence anthropologique de représentation de l’espace.
Pour cette jeune femme, on devait agir en être responsable et donc discuter. Pour l’auteur, cela a peut-être été impensable car c’est l’homme qui commande. Toute société imprégnée de machisme ne peut que générer de la violence sur les femmes… ou sur les autres hommes plus faibles.
Pour le jeune homme bordelais, la question est celle de l’impulsivité, c’est-à-dire de la capacité de contenir une tension en soi sans la décharger sur autrui.
Camus écrivait: "Un homme, ça s’empêche." On peut naître avec un tempérament plus ou moins impulsif, mais il n’y a pas de fatalité, la question est celle de la manière dont l’éducation familiale et groupale valorise cette impulsivité ou se donne comme tâche principale d’aider l’enfant à la contenir. Si ce travail éducatif et affectif n’est pas réalisé dans la petite enfance, il faut savoir que nous n’avons ensuite que peu de moyens réellement efficaces d’aider un sujet à contrôler son impulsivité. »
***
En voilà un qui commence à voir le problème tel qu'il est, à la base ; et tel qu'on le dénonce ici depuis belle lurette. C'est bien d'abord et avant tout une question d'éducation, car de culture, et donc de religion. Autrement dit : une chose collectivement irrémédiable, un domaine où les contradictions ne se résolvent que par la victoire ou la défaite, la conquête, la soumission, puis l'éradication ou la remigration.
De fait, non seulement ce "travail éducatif et affectif (!)" n'est pas fait, mais c'est tout l'inverse qui se reproduit dans ces populations, qui se prolonge et s'incruste sur notre sol et dans le cadre de notre société, jusques et y compris chez les plus "intégrés" en apparence — dans ce cas mezzo voce, mais un qui n'attend que son heure pour redonner de la voix ; cela empire, même, du fait de cette parfaite contradiction ethnico-culturelle et donc existentielle. Et cela fait florès avec le nombre et la concentration. Question de physique élémentaire. De Gaulle y a pensé en 1962, il aurait fallu s'en souvenir dans le courant des années 70. Hélas, les têtes de linotte pour placards publicitaires avaient pris le pouvoir et la génération des décervelés, des azimutés par l'idéologie de la nouveauté arrivait...
Le pédopsychiatre et psychanalyste Maurice Berger analyse l’origine de la montée des violences en France (Le Figaro).
« Une autre remarque est que pour les personnes originaires de nombreuses régions du monde, l’espace est genré comme l’indique la sociologue Nassima Driss. Par exemple, à propos de la mort dramatique d’Axelle Dorier à Lyon dont la justice précisera les circonstances exactes, concernant l’auteur on peut proposer une hypothèse qui ne sera probablement pas explorée lors du procès : le conducteur d’origine maghrébine est confronté à une jeune femme, d’origine européenne de surcroît, qui se met en travers de la route pour le faire s’arrêter, c’est-à-dire se «soumettre». Dans la culture d’Afrique du Nord, l’espace public est masculin alors que la place de la femme se situe au sein du foyer. Il y a là une différence anthropologique de représentation de l’espace.
Pour cette jeune femme, on devait agir en être responsable et donc discuter. Pour l’auteur, cela a peut-être été impensable car c’est l’homme qui commande. Toute société imprégnée de machisme ne peut que générer de la violence sur les femmes… ou sur les autres hommes plus faibles.
Pour le jeune homme bordelais, la question est celle de l’impulsivité, c’est-à-dire de la capacité de contenir une tension en soi sans la décharger sur autrui.
Camus écrivait: "Un homme, ça s’empêche." On peut naître avec un tempérament plus ou moins impulsif, mais il n’y a pas de fatalité, la question est celle de la manière dont l’éducation familiale et groupale valorise cette impulsivité ou se donne comme tâche principale d’aider l’enfant à la contenir. Si ce travail éducatif et affectif n’est pas réalisé dans la petite enfance, il faut savoir que nous n’avons ensuite que peu de moyens réellement efficaces d’aider un sujet à contrôler son impulsivité. »
***
En voilà un qui commence à voir le problème tel qu'il est, à la base ; et tel qu'on le dénonce ici depuis belle lurette. C'est bien d'abord et avant tout une question d'éducation, car de culture, et donc de religion. Autrement dit : une chose collectivement irrémédiable, un domaine où les contradictions ne se résolvent que par la victoire ou la défaite, la conquête, la soumission, puis l'éradication ou la remigration.
De fait, non seulement ce "travail éducatif et affectif (!)" n'est pas fait, mais c'est tout l'inverse qui se reproduit dans ces populations, qui se prolonge et s'incruste sur notre sol et dans le cadre de notre société, jusques et y compris chez les plus "intégrés" en apparence — dans ce cas mezzo voce, mais un qui n'attend que son heure pour redonner de la voix ; cela empire, même, du fait de cette parfaite contradiction ethnico-culturelle et donc existentielle. Et cela fait florès avec le nombre et la concentration. Question de physique élémentaire. De Gaulle y a pensé en 1962, il aurait fallu s'en souvenir dans le courant des années 70. Hélas, les têtes de linotte pour placards publicitaires avaient pris le pouvoir et la génération des décervelés, des azimutés par l'idéologie de la nouveauté arrivait...
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Re: Education islamique
Rachid, ce djihadiste français qui a vendu sa voiture pour acheter Marie, chrétienne d'Orient et esclave sexuelle (Valeurs Actuelles)
« Rachid, qui se fait aussi appeler "Abou Ossama", serait tombé par hasard dans le commerce d’esclaves. "Sa première année à Raqqa, ce fils d’épiciers de Lunéville qui touchait le RSA l’a passée dans les cybercafés syriens à draguer sur Facebook et à manger des kebabs", est-il possible de lire dans l’extrait. Pourtant, "grâce au djihad", Rachid serait devenu un "beau gosse", aurait-il affirmé. « Les propositions de mariage de "sœurs" affluent dans sa messagerie : des filles propres, croit-il utile de préciser à ses "frères restés au pays", relaye L’OBS.
Il a profité que l’Etat islamique rende le trafic d’esclaves légal pour lancer son business. "Il s’est mis à acheter compulsivement des femmes, avec l’argent qu’il s’est procuré en France en faisant des crédits à la consommation dont il ne rembourse pas les échéances." D’après le récit de Marie que L’OBS relate, Rachid recevrait toujours les allocations sociales de la part de la France. "Ce pays de ‘kouffars racistes’ ", a-t-il enfin décrit. Le livre "la Putain du califat" paraîtra le 6 janvier prochain. »
« Rachid, qui se fait aussi appeler "Abou Ossama", serait tombé par hasard dans le commerce d’esclaves. "Sa première année à Raqqa, ce fils d’épiciers de Lunéville qui touchait le RSA l’a passée dans les cybercafés syriens à draguer sur Facebook et à manger des kebabs", est-il possible de lire dans l’extrait. Pourtant, "grâce au djihad", Rachid serait devenu un "beau gosse", aurait-il affirmé. « Les propositions de mariage de "sœurs" affluent dans sa messagerie : des filles propres, croit-il utile de préciser à ses "frères restés au pays", relaye L’OBS.
Il a profité que l’Etat islamique rende le trafic d’esclaves légal pour lancer son business. "Il s’est mis à acheter compulsivement des femmes, avec l’argent qu’il s’est procuré en France en faisant des crédits à la consommation dont il ne rembourse pas les échéances." D’après le récit de Marie que L’OBS relate, Rachid recevrait toujours les allocations sociales de la part de la France. "Ce pays de ‘kouffars racistes’ ", a-t-il enfin décrit. Le livre "la Putain du califat" paraîtra le 6 janvier prochain. »
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Re: Education islamique
Un avant-goût du paradis d'Allah grâce au RSA, en somme.
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Re: Education islamique
Ces "enfants" qu'on veut rapatrier à toute force pour qu'ils éprouvent le "vivre ensemble"...
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Re: Education islamique
A part cela, il n'y a aucun conflit de civilisation à considérer.
La diversitude est la clef du bonheur universel.
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Re: Education islamique
Mérignac (33) : Chahinez, qui “voulait vivre comme une Française”, brûlée vive par Mounir Boutaa (Lettre Patriote)
« Devant les journalistes, Madame le procureur a longuement détaillé les multiples condamnations de Mounir Boutaa, entre 2004 et 2020 : pas moins de sept, dont trois pour violences.
En 2020, Chahinez dépose une première plainte contre son mari pour violences. "Elle voulait vivre en France comme une Française, mais son mari n’était pas de cet avis. Il voulait une Algérienne comme en Algérie", explique une source proche du dossier, selon nos confrères du Figaro. "Elle n’était pas très libre, elle voulait sortir dans des cafés et mettre des jeans, mais lui ne voulait pas", poursuit la même source, "son mari est quelqu’un d’assez autoritaire, qui montrait clairement qu’il n’avait pas peur de la police et de la justice".
“Chahinez disait que c’était un monstre. En juin, elle avait eu le larynx écrasé. Il n’a fait que trois mois de prison et il continuait à circuler dans le quartier”, ajoute Anne, qui se souvient d’avoir vu la victime avec “deux yeux au beurre noir”. »
« Devant les journalistes, Madame le procureur a longuement détaillé les multiples condamnations de Mounir Boutaa, entre 2004 et 2020 : pas moins de sept, dont trois pour violences.
En 2020, Chahinez dépose une première plainte contre son mari pour violences. "Elle voulait vivre en France comme une Française, mais son mari n’était pas de cet avis. Il voulait une Algérienne comme en Algérie", explique une source proche du dossier, selon nos confrères du Figaro. "Elle n’était pas très libre, elle voulait sortir dans des cafés et mettre des jeans, mais lui ne voulait pas", poursuit la même source, "son mari est quelqu’un d’assez autoritaire, qui montrait clairement qu’il n’avait pas peur de la police et de la justice".
“Chahinez disait que c’était un monstre. En juin, elle avait eu le larynx écrasé. Il n’a fait que trois mois de prison et il continuait à circuler dans le quartier”, ajoute Anne, qui se souvient d’avoir vu la victime avec “deux yeux au beurre noir”. »
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