Sus aux blancs !
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Re: Sus aux blancs !
Et la cruche blanche de "rigoler"...
- Didier Bourjon
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Re: Sus aux blancs !
Sardine Ruisseau dans ses oeuvres.


- Didier Bourjon
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Re: Sus aux blancs !
Sur France 5, Franz-Olivier Giesbert accusé d’être “blanc” (Valeurs Actuelles)
« Connaissez-vous C ce soir ? Cette émission de France 5, diffusée à une heure avancée de la nuit, se présente comme un débat. Son prisme idéologique — étriqué — s’étend de la gauche woke (surreprésentée) à un certain centre droit (à peine toléré). Jamais au-delà ! Bienvenue sur le service public. Karim Rissouli, son présentateur, fustige les fameux “extrêmes” et leurs fake news. Confortablement installé dans un splendide appartement qui donne sur les grands boulevards parisiens, il mène l’émission comme autrefois les bourgeoises tenaient salon. Hier soir, il recevait Franz-Olivier Giesbert. L’ancien patron du Point a gardé l’œil espiègle et ce profil bonasse, si typique des personnages de Simenon. Cette belle plume venait là pour présenter son dernier ouvrage : le Sursaut, histoire intime de la Ve République (Gallimard). Un livre intelligent qui retrace avec justesse les “années de Gaulle”.
Soudain, patatras... Karim Rissouli, brigadier de la pensée unique, croit avoir décelé un passage suspicieux. Sourcils froncés, il lit à voix haute, sûr de son effet : "J’habite Marseille, capitale française du cosmopolitisme, ville monde où je me sens chez moi. Mais souvent, quand je me rends à pied à la gare Saint-Charles en passant par la Canebière, j'ai le cœur serré car je n’ai entendu personne ou presque parler français. Que va-t-il arriver à notre langue ?" Véridique, mais pas très woke !
Il n’en fallait pas davantage pour que sa voisine, Laure Adler, ancienne conseillère culturelle de Mitterrand, s’étrangle. De sa voix lancinante, elle lance : "Bah, c’est bizarre de dire ça, Franz ! Bah, c’est bizarre ! Pourquoi vous écrivez ça ? Moi, je trouve ça tendancieux !" L'accusation de racisme n’est plus très loin. Giesbert, esprit libre, veut se défendre. Il tonitrue : "J’aimerais qu’ils parlent un peu plus français. J’aime la langue française ! C’est normal ! Je suis heureux à Marseille ! J’ai le droit d’écrire ! J’ai le droit de poser des questions !"
Visiblement, pas tellement. Comme soudain tirée de sa léthargie légendaire, Laure Adler enfonce le clou : "Vous êtes blanc, quoi. Et fier de l’être. Et vous trouvez qu’il n’y a pas assez de Blancs autour de vous." Pour le coup, voilà une phrase raciste. Dans un coin du studio, l’ancien conseiller d’Édouard Philippe, Gilles Boyer, reste muet comme une carpe. Habituel. Karim Rissouli, lui, se gausse comme un gamin. Giesbert finit par conclure : "C’est quoi, ces conneries ?"» Rien à ajouter. »
« Connaissez-vous C ce soir ? Cette émission de France 5, diffusée à une heure avancée de la nuit, se présente comme un débat. Son prisme idéologique — étriqué — s’étend de la gauche woke (surreprésentée) à un certain centre droit (à peine toléré). Jamais au-delà ! Bienvenue sur le service public. Karim Rissouli, son présentateur, fustige les fameux “extrêmes” et leurs fake news. Confortablement installé dans un splendide appartement qui donne sur les grands boulevards parisiens, il mène l’émission comme autrefois les bourgeoises tenaient salon. Hier soir, il recevait Franz-Olivier Giesbert. L’ancien patron du Point a gardé l’œil espiègle et ce profil bonasse, si typique des personnages de Simenon. Cette belle plume venait là pour présenter son dernier ouvrage : le Sursaut, histoire intime de la Ve République (Gallimard). Un livre intelligent qui retrace avec justesse les “années de Gaulle”.
Soudain, patatras... Karim Rissouli, brigadier de la pensée unique, croit avoir décelé un passage suspicieux. Sourcils froncés, il lit à voix haute, sûr de son effet : "J’habite Marseille, capitale française du cosmopolitisme, ville monde où je me sens chez moi. Mais souvent, quand je me rends à pied à la gare Saint-Charles en passant par la Canebière, j'ai le cœur serré car je n’ai entendu personne ou presque parler français. Que va-t-il arriver à notre langue ?" Véridique, mais pas très woke !
Il n’en fallait pas davantage pour que sa voisine, Laure Adler, ancienne conseillère culturelle de Mitterrand, s’étrangle. De sa voix lancinante, elle lance : "Bah, c’est bizarre de dire ça, Franz ! Bah, c’est bizarre ! Pourquoi vous écrivez ça ? Moi, je trouve ça tendancieux !" L'accusation de racisme n’est plus très loin. Giesbert, esprit libre, veut se défendre. Il tonitrue : "J’aimerais qu’ils parlent un peu plus français. J’aime la langue française ! C’est normal ! Je suis heureux à Marseille ! J’ai le droit d’écrire ! J’ai le droit de poser des questions !"
Visiblement, pas tellement. Comme soudain tirée de sa léthargie légendaire, Laure Adler enfonce le clou : "Vous êtes blanc, quoi. Et fier de l’être. Et vous trouvez qu’il n’y a pas assez de Blancs autour de vous." Pour le coup, voilà une phrase raciste. Dans un coin du studio, l’ancien conseiller d’Édouard Philippe, Gilles Boyer, reste muet comme une carpe. Habituel. Karim Rissouli, lui, se gausse comme un gamin. Giesbert finit par conclure : "C’est quoi, ces conneries ?"» Rien à ajouter. »
- Didier Bourjon
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Re: Sus aux blancs !
« Qu’il dégage d’ici le sale Blanc ! » : un interne en médecine, originaire de métropole et mobilisé en Guadeloupe, insulté et violemment agressé dans le CHU de Pointe-à-Pitre (LE Parisien, par Lettre Patriote)
« Un interne en médecine originaire de métropole et mobilisé en Guadeloupe pour travailler au CHU de Pointe-à-Pitre a confié à nos confrères du Parisien les violences verbales et physiques éprouvées récemment.
"Je ne rentre plus dans l’hôpital avec ma blouse blanche." Ces mots ont été confiés au Parisien par un interne en médecine. Originaire de métropole et mobilisé en Guadeloupe pour travailler au sein du CHU de Pointe-à-Pitre, celui-ci a évoqué les nombreuses agressions et les violences infligées aux soignants, parmi lesquelles des propos anti-blancs, indiquent nos confrères, dans un article publié mercredi 24 novembre. Le futur médecin généraliste, lui-même victime d’une violente agression, se pose des questions sur son avenir. « Ça fait un an que je suis là, c’est la première fois que je me sens en insécurité », explique-t-il dans les colonnes du quotidien.
"[Un] gars m’a étranglé avec sa main gauche, le poing braqué sur moi", raconte l’interne. Et d’ajouter : " Je n’arrivais plus à respirer." Pourtant, le futur médecin n’était pas seul. Autour de lui, il pouvait voir "des syndicalistes, brancardiers, aides-soignants, à qui [il dit] bonjour d’habitude". Mais aucun d’eux n’a réagi. "Ils m’ont insulté. J’ai entendu : 'Qu’il dégage d’ici le sale blanc ! Sale vermine ! Retourne chez toi, va voter Macron !' ", poursuit-il, toujours auprès du Parisien. »
« Un interne en médecine originaire de métropole et mobilisé en Guadeloupe pour travailler au CHU de Pointe-à-Pitre a confié à nos confrères du Parisien les violences verbales et physiques éprouvées récemment.
"Je ne rentre plus dans l’hôpital avec ma blouse blanche." Ces mots ont été confiés au Parisien par un interne en médecine. Originaire de métropole et mobilisé en Guadeloupe pour travailler au sein du CHU de Pointe-à-Pitre, celui-ci a évoqué les nombreuses agressions et les violences infligées aux soignants, parmi lesquelles des propos anti-blancs, indiquent nos confrères, dans un article publié mercredi 24 novembre. Le futur médecin généraliste, lui-même victime d’une violente agression, se pose des questions sur son avenir. « Ça fait un an que je suis là, c’est la première fois que je me sens en insécurité », explique-t-il dans les colonnes du quotidien.
"[Un] gars m’a étranglé avec sa main gauche, le poing braqué sur moi", raconte l’interne. Et d’ajouter : " Je n’arrivais plus à respirer." Pourtant, le futur médecin n’était pas seul. Autour de lui, il pouvait voir "des syndicalistes, brancardiers, aides-soignants, à qui [il dit] bonjour d’habitude". Mais aucun d’eux n’a réagi. "Ils m’ont insulté. J’ai entendu : 'Qu’il dégage d’ici le sale blanc ! Sale vermine ! Retourne chez toi, va voter Macron !' ", poursuit-il, toujours auprès du Parisien. »
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Re: Sus aux blancs !
Tanguy est cette personne qui a été vu au meeting de Villepinte, derrière le Z.


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Re: Sus aux blancs !

L'hallali n'est plus très loin, les conditions sont désormais parfaitement réunies.
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Re: Sus aux blancs !
Abnousse Shalmani démonte Pap Ndiaye (par Lettre Patriote)
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« Il faut faire des Universités des lieux où les questions décoloniales soient pensées, enseignées, militées, diffusées. » Pap N'Diaye, colloque “Fondements de la discrimination contemporaine” organisé le 15 avril 2021 à la Sorbonne par la mission égalité-lutte contre les discriminations à l’occasion de la journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leur abolition.
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« Il faut faire des Universités des lieux où les questions décoloniales soient pensées, enseignées, militées, diffusées. » Pap N'Diaye, colloque “Fondements de la discrimination contemporaine” organisé le 15 avril 2021 à la Sorbonne par la mission égalité-lutte contre les discriminations à l’occasion de la journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leur abolition.