Afrique, décolonisation, démographie
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- Didier Bourjon
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Afrique, décolonisation, démographie
Puissent ses compatriotes entendre ce discours de sagesse...
- Didier Bourjon
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Re: Afrique, décolonisation, démographie
Rejet global de l’universalisme des Lumières et du contrat social en Afrique (Lugan)
« Dans les pays du nord où priment l’économique et l’idéologie, l’analyse de la situation africaine est désespérément simple, pour ne pas dire simpliste : si le continent est sinistré, c’est par manque de développement. Voilà pourquoi, durant plus d’un demi-siècle, des sommes considérables y furent déversées. En vain.
L’échec des politiques de développement étant évident, le marasme africain fut ensuite attribué à l’absence de démocratie. Le continent se vit alors imposer la suppression du parti unique qui maintenait un semblant de cohésion des mosaïques ethniques locales. La conséquence d’une telle politique hors sol se lit aujourd’hui à travers l’émiettement politico-ethnique, l’ethno-mathématique et l’anarchie.
Toujours imbus de leurs principes démocratiques et porteurs de l’arrogant néo-colonialisme des "droits de l’homme" archétypiquement incarné par la CPI, les idéologues des pays du nord, ne voient pas qu’une révolution a commencé au sud du Sahara. Et qu’elle se fait précisément au nom de la contestation de leurs dogmes. Nous sommes en effet en présence de la première véritable tentative de décolonisation en profondeur du continent à travers le rejet global de l’universalisme des Lumières et du contrat social. Contrairement à ce que veulent nous faire croire la plupart des intellectuels africains installés en Europe ou aux Amériques et qui sont tout à la fois des déserteurs du développement et de modernes "Oncles Tom" n’ayant que les mots de démocratie et de développement à la bouche, leur continent d’origine n’accepte en effet plus la doxa occidentale.
Mais une fois la greffe politico-morale européo-américaine rejetée, les Afriques n’entreront pas pour autant dans le cycle des félicités. Les futures élites africaines devront en effet trouver des solutions urgentes au suicide démographique continental tout en définissant de nouveaux rapports politiques entre les diverses composantes ethniques de leurs pays respectifs.
A cet égard, la situation du Sahel résume les problèmes du continent. Ici, à partir de la révolution néolithique, les sédentaires sudistes ont vécu dans la terreur des raids lancés contre leurs villages par les nomades nordistes, qu’il s’agisse, d’ouest en est, des Maures, des Touareg, des Toubou ou encore des Zaghawa. La colonisation libéra les premiers, puis elle inversa le rapport des forces en leur faveur.
Avec les indépendances, l’espace sahélo saharien fut ensuite cloisonné par des frontières artificielles. Pris au piège de l’Etat-nation, sudistes et nordistes furent alors forcés de vivre ensemble. Le traumatisme fut d’autant plus fort qu’après la fin du parti unique, la démocratie électorale ethno-mathématique donna le pouvoir aux plus nombreux, c’est-à-dire aux sudistes qui n’ont pas boudé leur revanche historique. Voilà qui explique d'abord les évènements actuels de cette région, et non le manque de développement ou le "déficit démocratique". »
Vu comme cela, c'est beaucoup plus clair...
« Dans les pays du nord où priment l’économique et l’idéologie, l’analyse de la situation africaine est désespérément simple, pour ne pas dire simpliste : si le continent est sinistré, c’est par manque de développement. Voilà pourquoi, durant plus d’un demi-siècle, des sommes considérables y furent déversées. En vain.
L’échec des politiques de développement étant évident, le marasme africain fut ensuite attribué à l’absence de démocratie. Le continent se vit alors imposer la suppression du parti unique qui maintenait un semblant de cohésion des mosaïques ethniques locales. La conséquence d’une telle politique hors sol se lit aujourd’hui à travers l’émiettement politico-ethnique, l’ethno-mathématique et l’anarchie.
Toujours imbus de leurs principes démocratiques et porteurs de l’arrogant néo-colonialisme des "droits de l’homme" archétypiquement incarné par la CPI, les idéologues des pays du nord, ne voient pas qu’une révolution a commencé au sud du Sahara. Et qu’elle se fait précisément au nom de la contestation de leurs dogmes. Nous sommes en effet en présence de la première véritable tentative de décolonisation en profondeur du continent à travers le rejet global de l’universalisme des Lumières et du contrat social. Contrairement à ce que veulent nous faire croire la plupart des intellectuels africains installés en Europe ou aux Amériques et qui sont tout à la fois des déserteurs du développement et de modernes "Oncles Tom" n’ayant que les mots de démocratie et de développement à la bouche, leur continent d’origine n’accepte en effet plus la doxa occidentale.
Mais une fois la greffe politico-morale européo-américaine rejetée, les Afriques n’entreront pas pour autant dans le cycle des félicités. Les futures élites africaines devront en effet trouver des solutions urgentes au suicide démographique continental tout en définissant de nouveaux rapports politiques entre les diverses composantes ethniques de leurs pays respectifs.
A cet égard, la situation du Sahel résume les problèmes du continent. Ici, à partir de la révolution néolithique, les sédentaires sudistes ont vécu dans la terreur des raids lancés contre leurs villages par les nomades nordistes, qu’il s’agisse, d’ouest en est, des Maures, des Touareg, des Toubou ou encore des Zaghawa. La colonisation libéra les premiers, puis elle inversa le rapport des forces en leur faveur.
Avec les indépendances, l’espace sahélo saharien fut ensuite cloisonné par des frontières artificielles. Pris au piège de l’Etat-nation, sudistes et nordistes furent alors forcés de vivre ensemble. Le traumatisme fut d’autant plus fort qu’après la fin du parti unique, la démocratie électorale ethno-mathématique donna le pouvoir aux plus nombreux, c’est-à-dire aux sudistes qui n’ont pas boudé leur revanche historique. Voilà qui explique d'abord les évènements actuels de cette région, et non le manque de développement ou le "déficit démocratique". »
Vu comme cela, c'est beaucoup plus clair...
- Francis Marche
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Re: Afrique, décolonisation, démographie
Lugan est un véritable médicament, qui vous décrasse la tête des idées toutes faites sur l'Afrique. Et la revanche de la revanche des autres sur les uns se donne en complément de l'analyse de Lugan: son instrument est l'islam politique et le djihad dont s'arment les nomades du Nord.
- Didier Bourjon
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Re: Afrique, décolonisation, démographie
La décolonisation dans toute sa splendeur ; et la mise en évidence, aveuglante, des problèmes culturels — pour ne pas dire pis.
Zimbabwe : sinistre anniversaire et chiffres effrayants
« Cela fait maintenant 20 ans que le criminel Robert Mugabe a donné l’ordre d’expulser tous les propriétaires blancs de leurs fermes. La Commercial Farmers Union (Union des fermiers commerciaux) avait assuré à ce pays, durant de très longues années, son dynamisme agricole qui faisait de l’ex Rhodésie le grenier de l’Afrique de l’Est et un des rares endroits de la région où tout le monde mangeait à sa faim.
Aujourd’hui, vingt ans après, les chiffres font peur. La production agricole assurée par les nouveaux propriétaires des fermes, pour la plupart des membres du ZANU/PF, le parti politique de Robert Mugabe et de son successeur Emmerson Mnangagwa, a continué de chuter de façon dramatique. Ainsi, de 1999 à 2020, on est passé de 324.000 à 99.000 tonnes de blé, de 2.148.000 à 777.000 tonnes de maïs, de 79.000 à 29.000 tonnes de soja et de 128.000 à 38.000 tonnes de coton.
Avec un chômage qui touche maintenant 90 % de la population active et une inflation de 500 %, la situation est telle que le gouvernement avait décidé d’accorder des subsides à la vente du maïs à la population (alors que le pays en exportait jusqu’à l’année 2000). Après avoir corrompu tous les secteurs d’activité commerciale, industrielle et agricole, les amis du pouvoir en place et leurs affidés sont, depuis peu, occupés à détourner de très grandes quantités de maïs importé au titre de l’aide internationale à ce pays considéré sinistré… par ses propres dirigeants.
Il faut savoir en effet que le maïs constitue la nourriture de base des Zimbabwéens qui le consomment après qu’il ait été écrasé par des meuniers accrédités par l’État. L’astuce consiste à allouer à ces meuniers beaucoup plus de maïs qu’ils ne peuvent écraser. La différence est détournée par des petits malins qui le revendent et l’exportent illégalement (existe-t-il encore une légalité dans ce pays ?) en remplissant de maïs volé, sur la voie du retour, des camions essentiellement congolais qui traversent la frontière pour aller déposer leur cargaison de cuivre en Afrique du Sud. Des douaniers aux inspecteurs du GMB (Grain Marketing Board) organisme qui gère les donations de maïs, toute la filière est corrompue…
Dans l’ouest du pays, la région jadis prospère avec l’exploitation des mines d’or, des gangs à la solde de politiciens et d’hommes d’affaires véreux ont investi les mines devenues artisanales depuis le départ des exploitants officiels, eux aussi expulsés à cause de la mauvaise couleur de leur peau. Ces gangs (Mashurugwi-gangs de la machette ), d’une violence extrême, tuent à tour de bras et exploitent à leur tour ces mines pour le compte de leurs complices hauts placés et intouchables.
Et dire que dans l’Afrique du Sud voisine le gouvernement prépare à son tour l’expropriation des fermiers sans compensation aucune… »
Zimbabwe : sinistre anniversaire et chiffres effrayants
« Cela fait maintenant 20 ans que le criminel Robert Mugabe a donné l’ordre d’expulser tous les propriétaires blancs de leurs fermes. La Commercial Farmers Union (Union des fermiers commerciaux) avait assuré à ce pays, durant de très longues années, son dynamisme agricole qui faisait de l’ex Rhodésie le grenier de l’Afrique de l’Est et un des rares endroits de la région où tout le monde mangeait à sa faim.
Aujourd’hui, vingt ans après, les chiffres font peur. La production agricole assurée par les nouveaux propriétaires des fermes, pour la plupart des membres du ZANU/PF, le parti politique de Robert Mugabe et de son successeur Emmerson Mnangagwa, a continué de chuter de façon dramatique. Ainsi, de 1999 à 2020, on est passé de 324.000 à 99.000 tonnes de blé, de 2.148.000 à 777.000 tonnes de maïs, de 79.000 à 29.000 tonnes de soja et de 128.000 à 38.000 tonnes de coton.
Avec un chômage qui touche maintenant 90 % de la population active et une inflation de 500 %, la situation est telle que le gouvernement avait décidé d’accorder des subsides à la vente du maïs à la population (alors que le pays en exportait jusqu’à l’année 2000). Après avoir corrompu tous les secteurs d’activité commerciale, industrielle et agricole, les amis du pouvoir en place et leurs affidés sont, depuis peu, occupés à détourner de très grandes quantités de maïs importé au titre de l’aide internationale à ce pays considéré sinistré… par ses propres dirigeants.
Il faut savoir en effet que le maïs constitue la nourriture de base des Zimbabwéens qui le consomment après qu’il ait été écrasé par des meuniers accrédités par l’État. L’astuce consiste à allouer à ces meuniers beaucoup plus de maïs qu’ils ne peuvent écraser. La différence est détournée par des petits malins qui le revendent et l’exportent illégalement (existe-t-il encore une légalité dans ce pays ?) en remplissant de maïs volé, sur la voie du retour, des camions essentiellement congolais qui traversent la frontière pour aller déposer leur cargaison de cuivre en Afrique du Sud. Des douaniers aux inspecteurs du GMB (Grain Marketing Board) organisme qui gère les donations de maïs, toute la filière est corrompue…
Dans l’ouest du pays, la région jadis prospère avec l’exploitation des mines d’or, des gangs à la solde de politiciens et d’hommes d’affaires véreux ont investi les mines devenues artisanales depuis le départ des exploitants officiels, eux aussi expulsés à cause de la mauvaise couleur de leur peau. Ces gangs (Mashurugwi-gangs de la machette ), d’une violence extrême, tuent à tour de bras et exploitent à leur tour ces mines pour le compte de leurs complices hauts placés et intouchables.
Et dire que dans l’Afrique du Sud voisine le gouvernement prépare à son tour l’expropriation des fermiers sans compensation aucune… »
- Alain Georges
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Re: Afrique, décolonisation, démographie
Je signale l'excellent billet de Bernard Lugan sur les émeutes d'Afrique du Sud :
"Les très graves émeutes-pillages qui secouent l’Afrique du Sud depuis le 8 juillet dernier ont été déclenchées par la faction pro-Zuma de l’ANC (Zulu), avec pour objectif de déstabiliser la présidence de Cyril Ramaphosa (Venda), auquel elle reproche d’avoir évincé son leader en 2018. La présidence sud-africaine a d’ailleurs été très claire à ce sujet en parlant de « conspiration ethnique » et en inculpant douze hauts cadres zulu de l’ANC qui, selon elle, seraient impliqués dans l’organisation de ces émeutes. Dudane Zuma, un des fils de Jacob Zuma a, quant à lui, clairement appelé les Zulu à se mobiliser
Tout le reste n’est qu’analyses journalistiques affligeantes de médiocrité et de superficialité, surtout quand elles présentent ces évènements comme s’il s’agissait d’une simple révolte sociale due à une crise économique aggravée par le Covid…..........................................................
..........................................................
En voici la conclusion !
"Enfin, chiffre terrible pour tous ceux qui croyaient dans l’avenir de la société « post-raciale » sud-africaine, aujourd’hui, le revenu de la tranche la plus démunie de la population noire est inférieur de près de 50% à celui qu’il était sous le régime blanc d’avant 1994 !!! Ce qui a fait dire à un célèbre chroniqueur noir qu’au rythme auquel se décompose le pays, il va bientôt falloir se décider à en « rendre la direction aux Boers » !!!
Une remarque d’une grande profondeur car le soit disant héritage « négatif » de «l 'apartheid » a, des années durant, servi d’excuse aux dirigeants sud-africains. Or, aujourd’hui, personne ne peut plus nier qu’en 1994, quand le président De Klerk hissa au pouvoir un Nelson Mandela incapable de le prendre de force[3], il légua à l’ANC la première économie du continent, un pays doté d’infrastructures de communication et de transport à l’égal des pays développés, un secteur financier moderne et prospère, une large indépendance énergétique, une industrie diversifiée, des capacités techniques de haut niveau et la première armée africaine. Force est également de constater que, libérée de l’ « oppression raciste », la « nouvelle Afrique du Sud » fut immédiatement la proie du parti prédateur ANC dont les cadres, aussi incapables que corrompus, eurent comme objectif principal leur propre enrichissement.
Aujourd'hui, l’ANC n’est plus qu’une coquille vide ayant perdu toute forme idéologique et politique. Fragmenté par une infinité de facteurs, il ne survit plus que comme machine électorale destinée à distribuer des sièges de députés à ses membres. Quant aux masses noires totalement paupérisées, elles constituent un bloc explosif potentiel dont la colère se tournera un jour ou l’autre contre les Blancs qui n’auront plus que le choix entre l’émigration ou le repli vers l’ancienne province du Cap.
"Décérébrés par l’auto-culpabilisation, par les glapissements des « décoloniaux » et par le sida mental introduit par la « culture woke » (voir à ce sujet mon livre Pour répondre aux décoloniaux), les chapons gras occidentaux continueront pourtant à se pâmer devant la figure tutélaire de Nelson Mandela, tout en continuant à avoir « les yeux de Chimène » pour le fantasme de la « nation arc-en-ciel ». Ne voyant pas que ce qui se passe actuellement en Afrique du Sud annonce le futur apocalyptique de l’Europe « multiraciale » préparé par les mondialistes, la Commission de Bruxelles et ce pape tiers-mondiste qui ne cesse d’appeler à l’accueil des « Autres »...
"Les très graves émeutes-pillages qui secouent l’Afrique du Sud depuis le 8 juillet dernier ont été déclenchées par la faction pro-Zuma de l’ANC (Zulu), avec pour objectif de déstabiliser la présidence de Cyril Ramaphosa (Venda), auquel elle reproche d’avoir évincé son leader en 2018. La présidence sud-africaine a d’ailleurs été très claire à ce sujet en parlant de « conspiration ethnique » et en inculpant douze hauts cadres zulu de l’ANC qui, selon elle, seraient impliqués dans l’organisation de ces émeutes. Dudane Zuma, un des fils de Jacob Zuma a, quant à lui, clairement appelé les Zulu à se mobiliser
Tout le reste n’est qu’analyses journalistiques affligeantes de médiocrité et de superficialité, surtout quand elles présentent ces évènements comme s’il s’agissait d’une simple révolte sociale due à une crise économique aggravée par le Covid…..........................................................
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En voici la conclusion !
"Enfin, chiffre terrible pour tous ceux qui croyaient dans l’avenir de la société « post-raciale » sud-africaine, aujourd’hui, le revenu de la tranche la plus démunie de la population noire est inférieur de près de 50% à celui qu’il était sous le régime blanc d’avant 1994 !!! Ce qui a fait dire à un célèbre chroniqueur noir qu’au rythme auquel se décompose le pays, il va bientôt falloir se décider à en « rendre la direction aux Boers » !!!
Une remarque d’une grande profondeur car le soit disant héritage « négatif » de «l 'apartheid » a, des années durant, servi d’excuse aux dirigeants sud-africains. Or, aujourd’hui, personne ne peut plus nier qu’en 1994, quand le président De Klerk hissa au pouvoir un Nelson Mandela incapable de le prendre de force[3], il légua à l’ANC la première économie du continent, un pays doté d’infrastructures de communication et de transport à l’égal des pays développés, un secteur financier moderne et prospère, une large indépendance énergétique, une industrie diversifiée, des capacités techniques de haut niveau et la première armée africaine. Force est également de constater que, libérée de l’ « oppression raciste », la « nouvelle Afrique du Sud » fut immédiatement la proie du parti prédateur ANC dont les cadres, aussi incapables que corrompus, eurent comme objectif principal leur propre enrichissement.
Aujourd'hui, l’ANC n’est plus qu’une coquille vide ayant perdu toute forme idéologique et politique. Fragmenté par une infinité de facteurs, il ne survit plus que comme machine électorale destinée à distribuer des sièges de députés à ses membres. Quant aux masses noires totalement paupérisées, elles constituent un bloc explosif potentiel dont la colère se tournera un jour ou l’autre contre les Blancs qui n’auront plus que le choix entre l’émigration ou le repli vers l’ancienne province du Cap.
"Décérébrés par l’auto-culpabilisation, par les glapissements des « décoloniaux » et par le sida mental introduit par la « culture woke » (voir à ce sujet mon livre Pour répondre aux décoloniaux), les chapons gras occidentaux continueront pourtant à se pâmer devant la figure tutélaire de Nelson Mandela, tout en continuant à avoir « les yeux de Chimène » pour le fantasme de la « nation arc-en-ciel ». Ne voyant pas que ce qui se passe actuellement en Afrique du Sud annonce le futur apocalyptique de l’Europe « multiraciale » préparé par les mondialistes, la Commission de Bruxelles et ce pape tiers-mondiste qui ne cesse d’appeler à l’accueil des « Autres »...
- Alain Georges
- Messages: 1421
Re: Afrique, décolonisation, démographie
Quand un chef d’État africain donne une leçon de maintien à notre foutriquet tripoteur :
https://resistancerepublicaine.com/wp-content/uploads/2022/07/macron-au-benin-.mp4?_=1
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