Propaganda, Fakenews & Journalisme
- Didier Bourjon
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Re: Propaganda, Fakenews & Journalisme

Ignoble.
Nous avons trop oublié la colère.



- Didier Bourjon
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Re: Propaganda, Fakenews & Journalisme
Tous les médias ont embrayé, l'air sombre ou colérique : c'est un parti "post-fasciste", à surveiller comme le lait sur le feu.
- Didier Bourjon
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Re: Propaganda, Fakenews & Journalisme
Les pires totalitarismes enrégimente les enfants, on le sait.
Nous faisons pire, bien pire, de la maternelle aux études dites "supérieures".

***
Et aussi :

Il est vrai que de nos jours les adultes, particulièrement de sexe masculin, sont de très grands enfants, perdus sans leur doudou.
Nous faisons pire, bien pire, de la maternelle aux études dites "supérieures".

***
Et aussi :

Il est vrai que de nos jours les adultes, particulièrement de sexe masculin, sont de très grands enfants, perdus sans leur doudou.
- Didier Bourjon
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Re: Propaganda, Fakenews & Journalisme
France Télévisions fait l’apologie du voile islamique et combat ce qu’elle appelle « les clichés » qui l’entoure
- Alain Georges
- Messages: 1421
Re: Propaganda, Fakenews & Journalisme
Utile lecture. Pour remettre les choses à leur place.
https://anti-mythes.blogspot.com/2022/11/bataillon-storm-les-massacreurs-et.html
BATAILLON STORM, LES MASSACREURS ET BOURREAUX D’ODESSA
Extraits
"
L’histoire du bataillon Storm, un bataillon de police spéciale formé par le Ministère de l’Intérieur, c’est aussi celle du « Centurion Mikola », des sinistres députés de la Rada, de la région d’Odessa ou de la ville d’Odessa qui furent derrière le fameux massacre. Sans ce massacre du 2 mai 2014, toute l’histoire de la région aurait basculé et prit une tournure très différente. Mais il en fut ainsi et des fanatiques bandéristes et néonazis massacrèrent ce jour-là plusieurs dizaines de militants anti-Maïdan, antifascistes et pro-russes dans la ville. Peu de Français se sont sentis concernés par le massacre, les médias occidentaux ayant cherché plutôt à couvrir les crimes ukrainiens. Il faut dire que pour Le Monde, Le Figaro, Libération ou d’autres officines de propagandes, il était difficile après des mois de mensonges à propos du Maïdan, de dire la vérité sur les « gentils » manifestants européistes et se faisant faire des sandwichs sous des tentes par des grands-mères, massacrant à coups de barres de fer et de haches des militants pacifiques pro-russes. L’opinion publique occidentale avait été abreuvée par les médias de braves étudiants agitants des drapeaux de l’Union européenne, de cinquantenaires portant des passoires sur la tête, mais si quelques images avaient montré des visages et portraits inquiétants, de tatoués néonazis avec des croix celtiques et des drapeaux rouge et noir incompréhensibles en Europe de l’Ouest, c’est à Odessa que la vérité put enfin se montrer au grand jour. L’Ukraine et sa révolution du Maïdan ce n’était pas le paradis démocratique, les aspirations à la liberté. C’était le meurtre, le racisme, le bandérisme, le néonazisme, le racialisme, la russophobie, le révisionnisme et des flots de sang.
Des origines, jusqu’au massacre d’Odessa. L’histoire du bataillon Storm qui fut formé à Odessa c’est aussi celle des assassins du massacre du 2 mai 2014. Après le financement par la CIA de la révolution du Maïdan (hiver 2013-2014), le président démocratiquement élu Ianoukovitch fut renversé (février 2014). Les compagnies d’autodéfense du Maïdan qui firent le coup de poing, tuèrent des policiers et furent le bras armé du Maïdan étaient peuplées de fanatiques néonazis des différentes formations bandéristes et ultranationalistes de l’Ouest de l’Ukraine. La révolution américaine visait aussi à annuler l’accord sur la base navale de Sébastopol, d’obliger l’Union européenne à cesser ses bonnes relations avec la Russie, en creusant un fossé politique presque infranchissable, et de l’obliger également à entamer l’intégration de l’Ukraine dans l’UE,
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Tuez les tous, voilà un siècle que la guerre dure avec la Russie. Cette parole est celle du député Andreï Parouby qui fut l’organisateur du massacre d’Odessa, et pour ainsi dire l’un des parrains du bataillon. L’ordre fut donné de le former par le Ministère de l’Intérieur (14 avril 2014), dans l’idée de recruter un bataillon de police spéciale fort de 500 hommes, et devant défendre la ville contre l’hypothétique « agression hybride », à savoir nettoyer la ville des pro-russes alors majoritaires. Il fut lancé un appel au volontariat dans les rangs de la police nationale, s’adressant aux retraités, mais aussi à toutes les personnes ayant participé au Maïdan dans les rangs des compagnies d’autodéfense. Le recrutement s’avéra très problématique et il fallut vite en abaisser le niveau : « seulement 18 personnes furent sélectionnées, de nombreux candidats ayant été éliminés au stade de la visite médicale, les psychiatres et psychologues du Ministère de l’Intérieur ayant rejeté beaucoup de « forces spéciales » jugées défaillantes » (27 avril). Son commandant, le « Centurion Mikola » y apporta toute une faune de bandéristes et néonazis de la première heure, et quelques-uns furent des participants au massacre du 2 mai. Le bataillon recruta poussivement environ 200 hommes sur les 500 prévus. Ils furent employés à l’assaut du campement de l’esplanade de Koulilovo, et de la Maison des Syndicats (2 mai). Les hommes gardaient également des barrages routiers contrôlant les voitures et les véhicules, dans la peur de l’infiltration « d’agents russes » devant renforcer les éléments anti Maïdan. Un premier contingent de quelques dizaines d’hommes fut envoyé dans le Donbass (fin mai), dans un contexte difficile. La paranoïa était alimentée par la propagande ukrainienne répandant l’idée d’une « agression russe » imaginaire, mais obligeant l’armée ukrainienne et les forces de l’ordre à tenir « des positions » aux frontières de la Russie et face à la Crimée, sans parler de la tentative d’écrasement des insurgés du Donbass. Après une première rotation, un second groupe de 50 hommes, armés d’armes légères, fut envoyé sur le front (20 juillet). Ils participèrent à des opérations contre les populations civiles du Donbass, dans la région de Lougansk, connaissant le baptême du feu près de Georgievka (20 août), évacuant des civils peut-être de force (23 et 30 août). Les membres du bataillon affirmèrent avoir dû lutter contre des effectifs « supérieurs en nombre de parachutistes russes ». En réalité l’unité se contenta de contrôler des barrages routiers pour empêcher les civils de s’enfuir, ou d’autres de venir renforcer les insurgés dans la région, et ne rencontra bien sûr aucun parachutiste russe. Ils participèrent avec la police politique du SBU à des rafles, des arrestations et des perquisitions arbitraires dont les conséquences restent à évaluer (été-automne).
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https://anti-mythes.blogspot.com/2022/11/bataillon-storm-les-massacreurs-et.html
BATAILLON STORM, LES MASSACREURS ET BOURREAUX D’ODESSA
Extraits
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L’histoire du bataillon Storm, un bataillon de police spéciale formé par le Ministère de l’Intérieur, c’est aussi celle du « Centurion Mikola », des sinistres députés de la Rada, de la région d’Odessa ou de la ville d’Odessa qui furent derrière le fameux massacre. Sans ce massacre du 2 mai 2014, toute l’histoire de la région aurait basculé et prit une tournure très différente. Mais il en fut ainsi et des fanatiques bandéristes et néonazis massacrèrent ce jour-là plusieurs dizaines de militants anti-Maïdan, antifascistes et pro-russes dans la ville. Peu de Français se sont sentis concernés par le massacre, les médias occidentaux ayant cherché plutôt à couvrir les crimes ukrainiens. Il faut dire que pour Le Monde, Le Figaro, Libération ou d’autres officines de propagandes, il était difficile après des mois de mensonges à propos du Maïdan, de dire la vérité sur les « gentils » manifestants européistes et se faisant faire des sandwichs sous des tentes par des grands-mères, massacrant à coups de barres de fer et de haches des militants pacifiques pro-russes. L’opinion publique occidentale avait été abreuvée par les médias de braves étudiants agitants des drapeaux de l’Union européenne, de cinquantenaires portant des passoires sur la tête, mais si quelques images avaient montré des visages et portraits inquiétants, de tatoués néonazis avec des croix celtiques et des drapeaux rouge et noir incompréhensibles en Europe de l’Ouest, c’est à Odessa que la vérité put enfin se montrer au grand jour. L’Ukraine et sa révolution du Maïdan ce n’était pas le paradis démocratique, les aspirations à la liberté. C’était le meurtre, le racisme, le bandérisme, le néonazisme, le racialisme, la russophobie, le révisionnisme et des flots de sang.
Des origines, jusqu’au massacre d’Odessa. L’histoire du bataillon Storm qui fut formé à Odessa c’est aussi celle des assassins du massacre du 2 mai 2014. Après le financement par la CIA de la révolution du Maïdan (hiver 2013-2014), le président démocratiquement élu Ianoukovitch fut renversé (février 2014). Les compagnies d’autodéfense du Maïdan qui firent le coup de poing, tuèrent des policiers et furent le bras armé du Maïdan étaient peuplées de fanatiques néonazis des différentes formations bandéristes et ultranationalistes de l’Ouest de l’Ukraine. La révolution américaine visait aussi à annuler l’accord sur la base navale de Sébastopol, d’obliger l’Union européenne à cesser ses bonnes relations avec la Russie, en creusant un fossé politique presque infranchissable, et de l’obliger également à entamer l’intégration de l’Ukraine dans l’UE,
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Tuez les tous, voilà un siècle que la guerre dure avec la Russie. Cette parole est celle du député Andreï Parouby qui fut l’organisateur du massacre d’Odessa, et pour ainsi dire l’un des parrains du bataillon. L’ordre fut donné de le former par le Ministère de l’Intérieur (14 avril 2014), dans l’idée de recruter un bataillon de police spéciale fort de 500 hommes, et devant défendre la ville contre l’hypothétique « agression hybride », à savoir nettoyer la ville des pro-russes alors majoritaires. Il fut lancé un appel au volontariat dans les rangs de la police nationale, s’adressant aux retraités, mais aussi à toutes les personnes ayant participé au Maïdan dans les rangs des compagnies d’autodéfense. Le recrutement s’avéra très problématique et il fallut vite en abaisser le niveau : « seulement 18 personnes furent sélectionnées, de nombreux candidats ayant été éliminés au stade de la visite médicale, les psychiatres et psychologues du Ministère de l’Intérieur ayant rejeté beaucoup de « forces spéciales » jugées défaillantes » (27 avril). Son commandant, le « Centurion Mikola » y apporta toute une faune de bandéristes et néonazis de la première heure, et quelques-uns furent des participants au massacre du 2 mai. Le bataillon recruta poussivement environ 200 hommes sur les 500 prévus. Ils furent employés à l’assaut du campement de l’esplanade de Koulilovo, et de la Maison des Syndicats (2 mai). Les hommes gardaient également des barrages routiers contrôlant les voitures et les véhicules, dans la peur de l’infiltration « d’agents russes » devant renforcer les éléments anti Maïdan. Un premier contingent de quelques dizaines d’hommes fut envoyé dans le Donbass (fin mai), dans un contexte difficile. La paranoïa était alimentée par la propagande ukrainienne répandant l’idée d’une « agression russe » imaginaire, mais obligeant l’armée ukrainienne et les forces de l’ordre à tenir « des positions » aux frontières de la Russie et face à la Crimée, sans parler de la tentative d’écrasement des insurgés du Donbass. Après une première rotation, un second groupe de 50 hommes, armés d’armes légères, fut envoyé sur le front (20 juillet). Ils participèrent à des opérations contre les populations civiles du Donbass, dans la région de Lougansk, connaissant le baptême du feu près de Georgievka (20 août), évacuant des civils peut-être de force (23 et 30 août). Les membres du bataillon affirmèrent avoir dû lutter contre des effectifs « supérieurs en nombre de parachutistes russes ». En réalité l’unité se contenta de contrôler des barrages routiers pour empêcher les civils de s’enfuir, ou d’autres de venir renforcer les insurgés dans la région, et ne rencontra bien sûr aucun parachutiste russe. Ils participèrent avec la police politique du SBU à des rafles, des arrestations et des perquisitions arbitraires dont les conséquences restent à évaluer (été-automne).
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