Du mensonge
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Re: Du mensonge
Un policier témoigne : « Même en cas de délit, l’OQTF est mise à la trappe »
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Re: Du mensonge

Tartuffe est un petit saint qui peut espérer le Paradis à côté de ses innombrables émules modernes.
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Re: Du mensonge
D'un ex-président de l'Union européenne des géosciences, ex-Directeur de l'institut de physique Globe de Paris. Il a publié + de 150 articles dans des revues scientifiques.
...et anti-médecine, et, et, et...
A tout prendre, remarquez...
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Re: Du mensonge

Jamais le faux et le mensonge spectaculaire n'ont été à ce point omniprésents ; jamais les tireurs de ficelle et leurs affidés n'ont été aussi prsomptueux.
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Re: Du mensonge
ONG et passeurs : ce rapport confidentiel de Frontex qui agite l’Italie (Bd Voltaire)
« La très sérieuse agence de presse italienne Adnkronos vient de jeter un pavé dans la mare : selon un document confidentiel de l’agence Frontex, couvrant la période du 1er janvier au 18 mai 2021 et qu’elle a pu consulter, "les migrants venant de Libye déclarent constamment avoir vérifié, avant leur départ, la présence des ONG dans la région, expliquant que, en l’absence des navires des ONG en Méditerranée, beaucoup refusent de partir".
Une connivence "de fait" est donc établie : comment, sinon, expliquer que ces migrants aient pu vérifier la présence d’ONG à la lisière des eaux territoriales libyennes, si ce n’est par l’intermédiaire des passeurs… visiblement au fait des mouvements des navires humanitaires. Une connivence établie surtout par le fait que l’arrivée de ces migrants en Europe est méthodiquement assurée par ces ONG qui leur servent ainsi de garantie d’arriver à bon port.
Adnkronos poursuit : "En raison de la réorganisation des routes des trafiquants d’êtres humains, la Libye, et Zuara en particulier, sont devenues un pôle d’attraction et l’embarquement principal vers l’Europe et l’Italie."
Et citant le document confidentiel de Frontex : "La Libye est une fois de plus perçue par les Subsahariens comme le dernier pays de départ pour rejoindre l’UE. Le fait qu’à ce jour beaucoup de ces migrants signalés dans l’opération navale européenne Themis n’aient besoin que d’une période de six à sept mois pour rejoindre l’Italie suggère que les réseaux criminels ont efficacement adapté leur mode opératoire pour "trafiquer" les migrants en Libye et au-delà en Italie."
Zuara, ville portuaire libyenne à 60 km de la frontière tunisienne, est donc devenue "une plaque tournante du trafic et le principal lieu de dernier départ en Libye et dans la région de la Méditerranée centrale", ce fameux couloir migratoire d’où il est parti "environ 40 % de tous les migrants signalés en Méditerranée centrale".
Enfin, Adnkronos explique que, grâce aux interrogatoires de débriefing, Frontex observe "de plus en plus l’implication directe des milices des autorités locales dans l’activité de "trafic" à Zuara. [...] Cette zone continuera probablement à attirer les migrants qui cherchent à rejoindre l’Italie depuis la Libye", conclut le rapport. »
« La très sérieuse agence de presse italienne Adnkronos vient de jeter un pavé dans la mare : selon un document confidentiel de l’agence Frontex, couvrant la période du 1er janvier au 18 mai 2021 et qu’elle a pu consulter, "les migrants venant de Libye déclarent constamment avoir vérifié, avant leur départ, la présence des ONG dans la région, expliquant que, en l’absence des navires des ONG en Méditerranée, beaucoup refusent de partir".
Une connivence "de fait" est donc établie : comment, sinon, expliquer que ces migrants aient pu vérifier la présence d’ONG à la lisière des eaux territoriales libyennes, si ce n’est par l’intermédiaire des passeurs… visiblement au fait des mouvements des navires humanitaires. Une connivence établie surtout par le fait que l’arrivée de ces migrants en Europe est méthodiquement assurée par ces ONG qui leur servent ainsi de garantie d’arriver à bon port.
Adnkronos poursuit : "En raison de la réorganisation des routes des trafiquants d’êtres humains, la Libye, et Zuara en particulier, sont devenues un pôle d’attraction et l’embarquement principal vers l’Europe et l’Italie."
Et citant le document confidentiel de Frontex : "La Libye est une fois de plus perçue par les Subsahariens comme le dernier pays de départ pour rejoindre l’UE. Le fait qu’à ce jour beaucoup de ces migrants signalés dans l’opération navale européenne Themis n’aient besoin que d’une période de six à sept mois pour rejoindre l’Italie suggère que les réseaux criminels ont efficacement adapté leur mode opératoire pour "trafiquer" les migrants en Libye et au-delà en Italie."
Zuara, ville portuaire libyenne à 60 km de la frontière tunisienne, est donc devenue "une plaque tournante du trafic et le principal lieu de dernier départ en Libye et dans la région de la Méditerranée centrale", ce fameux couloir migratoire d’où il est parti "environ 40 % de tous les migrants signalés en Méditerranée centrale".
Enfin, Adnkronos explique que, grâce aux interrogatoires de débriefing, Frontex observe "de plus en plus l’implication directe des milices des autorités locales dans l’activité de "trafic" à Zuara. [...] Cette zone continuera probablement à attirer les migrants qui cherchent à rejoindre l’Italie depuis la Libye", conclut le rapport. »